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Amar Baccaloreat Resumé Court

résumé bac tunisie

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Chapitre 1 : la croissance économique et ses facteurs Dénition et aspects de la croissance économique Défnition : C’est l’augmentation l’augmentation durable de la richesse nationale (richesse crée, grandeurs économiques) accompagnée des changements (mutations) des structures économiques .  phénomène quantitati quantitati  La croissance économique est l’augmentation durable des grandeurs économique, elle est mesurable à l’aide d’un indicateur synthétique : le PIB qui mesure la production totale d’un pays. Une augmentation de PIB montre une augmentation de l’actiité économique. un phénomène qualitati  qualitati  Changements de la structure de la population active  : baisse de l’emploi dans le secteur agricole au pro!t du secteur secondaire puis tertiaire. Changement de la structure de la production : baisse du PIB dans le secteur agricole au pro!t des autres secteurs. Changement de la structure de la consommation : e"emple : baisse de coe#cient budgétaire de l’alimentation au pro!t des serices Notion de croissance intensive et de croissance extensive Modalités C.etensi!e C. intensi!e "oints communs $ugmentation durable des richesses créées accompagnées par des mutations des structures économiques "oints de di#érences %ésulte de l’augmentation des &acteurs de production 'plus de (), plus de *apital+ Permet de créer les emplois 'baisse le chmage+ %ésulte de l’amélioration de l’e#cacité des &acteurs de production 'P-,&ormation+ Permet de détruire les emplois 'augmente le chmage+ $a croissance économique phénomène irrégulier L’irrégularité de la croissance : L’obseration de l’éolution de la croissance économique sur le long terme &ait apparaitre que celle/ci éolue à un rythme irrégulier 0 en e1et durant certaines périodes elle s’accél2re, et durant d’autres périodes elle décél2re. )n constate donc que la croissance n’est pas un phénom2ne uni&orme car elle se caractérise par des 3uctuations. Les 3uctuations représentent un ensemble de mouements à la hausse et à la baisse, c4est/à/dire des mouements ascendants et descendants de l’actiité économique. La croissance phénomène cyclique : La croissance se caractérise par la répétitiité de ses 3uctuations. La répétitiité permet de dégager un caract2re cyclique. *haque cycle économique se décompose donc en : 5 L’expans ’ex pansion ion  : phase caractérisée par l’augmentation rapide du olume de toutes les ariables économiques 'la production, la demande, l’inestissement+ le tau" de croissance annuel du PIB est donc soutenu. Crise : point de retournement supérieur : le ma"imum du cycle économique. *’est la !n de la phase d’e"pansion et le début d’une phase de diminution.  La récession : phase désigne le ralentissement de l’actiité économique, ainsi la production continue à augmenter mais à un rythme plus &aible, le tau" de croissance du PIB est tou6ours positi& mais il diminue d’une année à une autre. : c’est une phase critique de la ie économique puisque tous les indicateurs connaissent une diminution de PIB P IB et le tau" de croissance du PIB deient négati&. négati&.  La dépression "oints de di#érences %ésulte de l’augmentation des &acteurs de production 'plus de (), plus de *apital+ Permet de créer les emplois 'baisse le chmage+ %ésulte de l’amélioration de l’e#cacité des &acteurs de production 'P-,&ormation+ Permet de détruire les emplois 'augmente le chmage+ $a croissance économique phénomène irrégulier L’irrégularité de la croissance : L’obseration de l’éolution de la croissance économique sur le long terme &ait apparaitre que celle/ci éolue à un rythme irrégulier 0 en e1et durant certaines périodes elle s’accél2re, et durant d’autres périodes elle décél2re. )n constate donc que la croissance n’est pas un phénom2ne uni&orme car elle se caractérise par des 3uctuations. Les 3uctuations représentent un ensemble de mouements à la hausse et à la baisse, c4est/à/dire des mouements ascendants et descendants de l’actiité économique. La croissance phénomène cyclique : La croissance se caractérise par la répétitiité de ses 3uctuations. La répétitiité permet de dégager un caract2re cyclique. *haque cycle économique se décompose donc en : 5 L’expans ’ex pansion ion  : phase caractérisée par l’augmentation rapide du olume de toutes les ariables économiques 'la production, la demande, l’inestissement+ le tau" de croissance annuel du PIB est donc soutenu. Crise : point de retournement supérieur : le ma"imum du cycle économique. *’est la !n de la phase d’e"pansion et le début d’une phase de diminution.  La récession : phase désigne le ralentissement de l’actiité économique, ainsi la production continue à augmenter mais à un rythme plus &aible, le tau" de croissance du PIB est tou6ours positi& mais il diminue d’une année à une autre. : c’est une phase critique de la ie économique puisque tous les indicateurs connaissent une diminution de PIB P IB et le tau" de croissance du PIB deient négati&. négati&.  La dépression La reprise : un autre point de retournement in&érieur représentant le minimum cyclique. *’est un point qui annonce ainsi la !n de la récession 'ou de la dépression+ et le début d’une nouelle e"pansion c’est à dire d’un noueau cycle. uantité de travail travail et croissance !quantité !quantité de travail""" travail""" croissance extensive# La quantité du traail dépend de la population actie et de la durée du traail. (a ct eu rs ) m p a ct s u r la cr oi s s a n La quantité du traail constitue un ecteur principal dans l’accroissement des richesses 'croissance éco+. 7n e1et la quantité du traail dans une économie désigne sa population actie qui n’est rien d’autre que l’ensemble des personnes qui e"ercent ou cherchent à e"ercer une actiité pro&essionnelle rémunérée. 7lle dépend de plusieurs &acteurs notamment les facteurs démographiques à saoir l’augmentation des naissances qui entraine l’augmentation de la population actie et par la suite la hausse de quantité de traail et le solde migratoire positie 'nombre d’immigrés supérieur au nombre d’émigres+ qui gén2re l’accroissement de la population actie et agit positiement sur la quantité de traail et des facteurs sociologiques  comme la meilleure participation des &emmes dans la ie actie, la baisse de la duré de scolarisation et l’augmentation de l’8ge de retraite. *es &acteurs entraine une augmentation de la population actie ce qui in3ue positiement sur la quantité de traail. nomb re d’acti&s dans le $out d’a%ord, la mobilisation d’un plus grand nombre processus de production permet de mettre en 9ure des capacités producties supplémentaires &aorisant une hausse de la production et permet de réaliser par conséquent une croissance économique quali!ée d’e"tensie. L’accroissement du tau" d’actiité et une plus grande mobilisation de traailleurs &aorisent la croissance économique. e m;me, toute augmentation de la population actie gén2re une hausse des capacités producties &aorable à la croissance.  7n outre, L’augmentation du nombre de traailleurs se traduit par une distribution de reenus supplémentaires qui ont augmenter la consommation et l’épargne : Le surplus de consommation constitue une demande additionnelle adressée au" entreprises. L’augmentation de débouchés encourage les entreprises à produire daantage De m&me, le surplus d’épargne permettant de !nancer plus d’inestissements, accror8ce à l’éducation et à r la &ormation, l’accumulation du capital humain deient possible, ce qui permet de la maintenir les emplois e"istants et m;me d’en créer d’autres. $insi, l’amélioration de la qualité du traail contribue à une croissance quali!ée d’intensie. cr +n outre, une main d’9ure plus quali!ée et mieu" &ormée sera capable de s’adapter oi plus &acilement au progr2s technique et d’innoer. *e &acteur est tr2s apprécié de nos  6ours par les inestisseurs dans une con6oncture d’ouerture et de recherche continue ss d’une meilleure compétitiité. Dans ce sens, les traailleurs doient ;tre capables de &acilement et au" nouelles technologies particuli2rement dans un monde de an s’adapter plus en plus ouert et concurrentiel . ce . plus, une meilleure qualité de la main d’9ure, en générant une augmentation de éc De la productiité du traail, est source de reenus supplémentaires appelés gains de on productiité. Leur répartition entre les di1érents agents économiques est &aorable à la croissance. 7n e1et, ces gains peuent pro!ter au" traailleurs eu"/m;mes sous &orme o d’accroissement de salaires, au" actionnaires sous &orme de diidendes et au" mi consommateurs sous &orme de baisse des pri". Il en résulte une amélioration du pouoir d’achat et de la consommation. De m&me, les gains de productiité, à traers la baisse des pri", ont aussi permettre un accroissement des e"portations. La hausse de la demande nationale et qui en résulte a stimuler les inestissements et tirer sur la croissance. 'ar ailleurs, La répartition de ces gains béné!cient à tous les agents économiques ce qui permet par suite d’améliorer la croissance économique : $u" traailleurs sous &orme d’augmentation des salaires. *ette augmentation se salaire entraine l’augmentation de consommation et de l’épargne et par la suite l’augmentation de production ce qui &aorise la croissance. $u" entreprises sous &orme d’augmentation des béné!ces. *ette augmentation de béné!ce gén2re l’augmentation des inestissements, de reenu et par la suite l’augmentation de production ce qui &aorise la croissance. $u" consommateurs sous &orme d’une hausse du pouoir d’achat 'suite à la baisse des pri"+. *ette augmentation de pouoir d’achat entraine l’augmentation de consommation et par la suite l’augmentation de production ce qui &aorise la croissance. $ l’7tat sous &orme d’augmentation de ses recettes. *ette augmentation de recette gén2re l’augmentation des inestissements publique ce qui &aorise la croissance. $u" actionnaires sous &orme d’augmentation des diidendes. L’augmentation de diidende entraine une hausse de l’inestissement, de la production et par la suite la croissance économique. $insi, une amélioration de la qualité du traail et une meilleure productiité des traailleurs constituent une source de croissance quali!ée d’intensie. &mportance des re!enus (salaire, rémunération) de tra!ail dans la croissance L’augmentation des reenus de traailleurs a contribuer à l’augmentation de la croissance économique: $out d’a%ord, l’augmentation de reenu signi!e l’amélioration de pouoir d’achat, les ménages ont donc augmenter leur consommation, a!n de répondre à cette demande supplémentaire, les entreprises ont augmenter leur inestissement et leur production, c4est/à/dire une croissance économique plus importante. De plus, l’augmentation de reenu entraine l’accroissement de l’épargne et stimule par conséquent l’inestissement et la production ce qui &aorise la croissance +n outre, l’augmentation de reenu gén2re la hausse des recettes publiques qui peuent ;tre utilisées pour !nancer des inestissements ce qui &aorise la croissance. *ussi, l’augmentation de reenu représente une source de motiation et d’encouragement pour les traailleurs qui ont chercher à améliorer la qualité et la quantité produite et par suite la réalisation de la croissance économique. -emarque Le tau" le plus pertinent pour mesurer la croissance économique est le tau" de croissance du PIB réel. 7n e1et, ce tau" permet de mesurer l’augmentation des richesses réellement créées en éliminant la hausse des pri". 7n reanche, le tau" de croissance du PIB nominal est moins pertinent car il re32te une augmentation de la production proenant non seulement de la hausse des quantités produites mais aussi de l’accroissement des pri" durant cette période. ?uestion de cours 'bac @AC+ (ontreD que le PIB 'produit intérieur brut+ e"primé en PP$ 'parité de pouoir d’achat+ constitue un indicateur pertinent de comparaison internationale des richesses créées. Le PIB est éalué en PP$ dans l’ob6ecti& de comparer de mani2re plus réaliste 'pertinente+ les richesses en éliminant la di1érence des structures des pri" entre les pays. Les richesses créées sont éaluées en un standard de pouoir d’achat en se basant sur un tau" de change !cti& au lieu de prendre un tau" de change o#ciel. Le PIB e"primé en PP$ est obtenu en multipliant le PIB calculé au" pri" nationau" par un tau" de change !cti& qui rend équialent le pri" d’un panier de marchandises dans chaque pays )ntroduction : !investissement#  -ous les pays aspirent à une croissance économique c’est/à/dire à une augmentation durable des per&ormances économiques accompagnée par des mutations de leurs structures économiques. Pour atteindre leur ob6ecti&, ils ont mettre en 9ure diers &acteurs parmi lesquels l’inestissement. *elui/ci désigne toute opération qui permet d’accrorace à plus de main d’oure, on esp2re produire plus et augmenter la productiité par t2te 'productiité par salarié+. *ertes, les patrons, pour e1ectuer leur production, embauchent selon la demande. $ec l’essor des nouelles technologies, on obsere une augmentation du traail quanti!é. L’innoation, ou l’application et la commercialisation de biens noueau", crée des emplois dans les noueau" biens d’équipement, les Migh -ech'ou N hautes technologies O+ sont en plein essor : ce sont des branches d’actiité qui &ont appel à des technologies couteuses se pointe. Fu6et : (ontrer que l’inestissement accroit les e"portation des biens et serices et que celles/ci 'e"portations+ tirent la croissance économique Partie  : inestissement accroit l’e"portation Partie@ l’inestissement accroit la croissance économique uestion de cours : *omment un inestissement permet/il d’accroitre la production à traers ses e1ets d’entrainement et ses e1ets e"ternes positi&s  IllustreD otre réponse par un e"emple pour chaque type d’e1ets. L’inestissement permet d’augmenter la production par : 9es e0ets d’entranement, en e1et, un inestissement peut susciter d’autres  inestissements donc des nouelles o1res 'productions+ notamment lorsqu’il est réalisé dans une actiité qui a de &orte relation de complémentarité aec le reste de l’économie : /7n amont : Pour inestir l’entreprise demande des biens et serices au pr2s de ses &ournisseurs. *es derniers leurs productions augmentent au m;me temps que la production de l’inestisseur augmente. /7n aal : l’inestissement d’une entreprise gén2re ou suscite l’inestissement des clients qui oient leur production augmente suite à cet inestissement. +xemple : une entreprise de &abrication de oiture qui inestit pour augmenter sa production oblige : / ses clients à inestir à leur tour dans l’achat des locau", des itrines pour l’e"position de ces produits. / Fes &ournisseurs de métallurgie à inestir pour augmenter leur production La production de l’entreprise, des &ournisseurs et des clients◊ augmentent. 'ar les externalités positives qu’il engendre :les inestissements publics ou priés entra : dites en quoi les mutations sectorielles ont suivi des mutations de technique de production/ $u nieau du secteur primaire : on assiste à une prédominance de ce secteur aant la premi2re réolution industrielle en utilisant des techniques simples et rudimentaires. $u nieau du secteur secondaire : on assiste à une prédominance de ce secteur apr2s les deu" réolutions industrielles en utilisant la mécanisation $u nieau du secteur tertiaire : on assiste à une prédominance de ce secteur apr2s les deu" réolutions industrielles en utilisant la mécanisation et l’automatisation. La concentration des entreprises La mondialisation des économies pousse les entreprises à une course à la taille. *et accroissement de la dimension des entreprises résulte des opérations de croissance interne et e"terne 0 dont la conséquence ma6eure est le phénom2ne de concentration. Concentration hori?ontale !activité similaire+ : c’est le regroupement des entreprises ayant la m;me actiité c’est/à/dire opérant dans le m;me secteur et au m;me stade de production. 7lle permet $mélioration de la qualité du produit !nis./ %éduire les coGts de production 'économie d’échelle+./iersi!er la gamme des produits/;tre monopoles et dominer le marché Concentration verticale !activité complémentaire# : c’est le regroupement des entreprises ayant des actiités complémentaire : intégration des entreprises e1ectuant dierses étapes de productions. 7lle permet : -emonter la li@re : concentration erticale en amont 'aec les &ournisseurs+ *ontrler les actiités des &ournisseurs : / Baisser les coGts des approisionnements, $méliorer la qualité. Descendre la li@re : concentration erticale en aal 'aec les clients+ *ontrler les actiités des clients : $ugmenter la masse béné!ciaire, *ontrler les actiités et les conditions de ente Concentration conglomérale !activité diversiées# : c’est le regroupement des entreprises ayant des actiités diersi!é c’est/à/dire les entreprises sont indépendantes les unes des autres en ce qui concerne leurs produits et leurs réseau" commerciau". 7lle permet / iersi!er les produits. %éduire les risques. /$ugmenter les pro!ts. Concentration volontaire et concentration involontaire : La concentration olontaire est une stratégie d’une entreprise qui ise à accro : Les mutations de la consommation Niveau de vie : dénition et facteurs Croissance"""" niveau de vie Niveau de vie"""" croissance +volution de la structure de consommation ode de vie : dénition et facteurs Croissance""""mode de vie 'u cours de la croissance économique% les ric!esses créées augmentent% ce qui permet une augmentation de niveau de vie mo&en de la population et une modification de la consommation des ménages. "es modes de vie se transforment Niveau de vie : dénition et facteurs "e niveau de vie est une notion quantitative / c’est la quantité de biens et services dont dispose un ménage% une catégorie sociale% un pa&s% en fonction de leur revenu "e niveau de vie dépend 0le pouvoir d’achat / revenu réel qui correspond à la quantité de biens et services que peut acquérir un individu à partir de son revenu nominal en tenant compte du niveau de prix 0le patrimoine dont dispose l’individu / l’ensemble des biens 1terrains% logement23 et des dettes  possédées par une personne à une date donnée.  les avantages en nature dont il dispose / avantages indirects 1fiscalité% logement 4 transport% services collectifs3.  statut de l’individu ! savoir / un emploi stable 1avantages sociaux / prime% allocations familiales 4  pensions de retraite3. Croissance"""""""""""""""""""""" niveau de vie "a croissance économique permet d’améliorer le niveau de vie mo&en. n effet% la croissance économique  permet de créer les emplois et distribuer plus de revenu. En plus" la croissance économique gén#re des gains de productivité qui sont% une fois répartis% permet de baisser les prix et d’augmenter les salaires et mettre à la disposition des ménages des services collectifs qui contribuent à l’amélioration du niveau de vie. En outre% la croissance favorise la réalisation des économies d’éc!elle 1baisse de cout unitaire et augmentation de  production3 ceci se traduit par une augmentation de la consommation pour le ménage suite à l’amélioration du  pouvoir d’ac!at. De plus% la croissance généré une augmentation des recettes publiques profitables pour l’tat ce qui permet de développer les services publics marc!ands et non marc!and et donc l’amélioration du niveau de vie. Niveau de vie""""""""""""""""""" croissance "’amélioration du niveau de vie permet d’augmenter la croissance économique suit à l’augmentation de la consommation et l’amélioration du pouvoir d’ac!at. De plus% elle permet l’augmentation de la demande des ménages et des entrepreneurs qui à son tour favorise l’augmentation de l’offre. En outre% l’amélioration de niveau de vie engendre la création du d&namisme d’investissement de la part des entreprises / nouveau emplois% augmentation des profits% promouvoir les exportations ce qui favorise la croissance. $’é!olution de la structure de la consommation + $’utilité de 3  / C!iffrer les dépenses de consommation d’une rubrique dans le total des dépenses. - ermet d’appré!ender l’évolution de la structure de consommation dans le temps et dans l’espace. "es lois d’ngel / #oi 5 / "es dépenses alimentaires augmentent moins vite que le revenu. #oi 6 / "es autres dépenses liées à des besoins primaires 1logement% c!auffage% !abillement3 augmentent au m7me r&t!me que le revenu. #oi 8 / "es dépenses ne relevant pas de la nécessité de satisfaire des besoins primaires augmentent plus rapidement que les revenus. ode de vie !genre de vie# st une notion qualitative qui évolue dans le temps et dans l’espace. C’est l’ensemble de mani#re de vivre d’un individu ou d’un groupe caractérisé par les conditions matérielles et l’organisation de la vie quotidienne 1condition de travail% t&pes de loisir% fa9on de consommer23  "e mode de vie dépend de plusieurs facteurs -------#e niveau de vie : c’est-à-dire 0 le pouvoir d’ac!at / revenu réel qui correspond à la quantité de biens et services que peut acquérir un individu à partir de son revenu nominal en tenant compte du niveau de prix 0 le patrimoine dont dispose l’individu / !éritage 4 bijoux 0 les avantages en nature dont il dispose / avantages indirects 1fiscalité% logement 4 transport% services collectifs3. 0 statut de l’individu à savoir / un emploi stable 1avantages sociaux / prime% allocations familiales 4  pensions de retraite3. ------ $acteurs économiques et sociaux / les r&t!me imposé par la société% les conditionnements sociaux 4 les !abitudes culturelles. La croissance économique et trans&ormations des modes de ie  "a croissance économique permet la transformation du mode de vie. Tout d’abord un grand progr%s des modes de vie qui se manifestent par les c!angements qualitatifs au niveau du développement des mo&ens de communication% diversification de l’alimentation% évolution des mo&ens de transport% l’amélioration de l’!abitation. Ces mutations remarquable de mode de vie entraine une augmentation des revenu des ménages et une élévation des revenus directs et permet en conséquences de transformer les !abitudes et les comportements des consommateurs et donc leur mode de vie. De plus" la croissance permet l’uni$ormisation du niveau de vie / on assiste à un rapproc!ement des modes de vie suite au développement des mo&ens de communication de masse ce qui élargie l’acc#s à l’information% la publicité qui influencent des modes de consommations. "’uniformisation se manifeste dans l’alimentation% l’!abillement% l’éducation% les loisirs. "’uniformisation des modes de vie est à l’origine de l’augmentation de niveau de vie mo&en et la standardisation des produits suite à l’organisation scientifique de travail 1fordisme et ta&lorise3 et le r:le des innovations commerciales 1ventes à crédits3. "’uniformisation permet un rapproc!ement des modes de vie / le mode de vie d’un simple ouvrier se rapproc!e à celui d’un cadre aussi le mode de vie dans les ;ones rurales se rapproc!e de celui des ;ones urbaines. En outre" la croissance gén%re la di$$érentiation des modes de vie / cette diversification est due à la diversification des produits% l’élargissement da la gamme de produit. "a différentiation des modes de vie est à l’origine de r:le du progr#s tec!nique puisque les innovations permettent de créer des produits différenciés et diversifies% de plus les ménages sont saturés en biens d’équipements durables et ils c!erc!ent donc une diversification. Cette diversification rend le mode de vie de plus en plus différenciés en termes de gouts% !abitudes et préférences. Aussi" gr&ce ! l’amélioration de la productivité" on assiste ! l’abaissement du temps de travail au profit du temps de loisir. "es individus sont tournés de  plus en plus vers les activités de loisir. n effet% le salarié ne c!erc!e plus seulement de gagner plus% mais de vivre mieux et de consacrer plus de temps aux loisirs% aux vacances% et d’accéder à des activités de loisirs variées 1sportifs% culturelles3 )ntroduction : concentration )ntroduction !concentration# La croissance économique se traduit non seulement par l4accroissement des richesses créées mais aussi par des trans&ormations qualitaties qui permettent de produire plus et mieu". Les principales trans&ormations qualitaties que l4on désigne par le terme mutations des structures économiques sont les mutations des structures de la production les mutations de la consommation. Pour les mutations de production elles se mani&estent par l’éolution du concept de la concertation qui désigne un processus de regroupement des entreprise a!n d’augmenter leurs tailles. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !concentration# $u cours de la croissance économique, les structures de la production connaissent de nombreuses mutations. *es mutations touchent la structure de consommation et la structure de production. Pour la structure de production, ces mutations se traduisent par le déeloppement de la concentration. *e phénom2ne correspond au regroupement des entreprises pour augmenter leurs tailles. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !concentration# La recherche d’une croissance économique s’e"plique par un accroissement durable des per&ormances économiques. *et accroissement s’accompagne par des mutations de la structure de production et en particulier l’éolution du concept concentration. *e concept peut ;tre dé!ni comme un processus par lequel des entreprises se regroupent en ue de constituer une !rme plus grande )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !concentration# L’accélération de la croissance économique que l’on obsere depuis la réolution industrielle s’est accompagné de pro&ondes mutations de l’appareil producti& et en particulier l’apparition du concept de la concentration. *e concept peut ;tre dé!ni comme un processus par lequel des entreprises se regroupent en ue de constituer une !rme plus grande. Il en résulte que le nombre d’entreprises diminue alors que leur taille augmente. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !concentration# La croissance économique est un phénom2ne durable qui désigne l’accroissement des richesses créées accompagnes par des mutations des structures économique qui touchent la production et la consommation. Pour les structures de production elles t se traduisent par l’apparition de la concentration comme un processus par lequel des entreprises se regroupent en ue de constituer une !rme plus grande. Il en résulte que le nombre d’entreprises diminue alors que leur taille augmente. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !concentration# La croissance économique est l’augmentation durable des grandeurs économique accompagnée par de nombreuses mutations non seulement de la consommation mais aussi de la production qui se traduit par l’apparition et le déeloppement du concept de la concentration qui désigne un processus par lequel des entreprises se regroupent en ue de constituer une !rme plus grande. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !concentration# La croissance économique qui se traduit par l’accroissement des richesses créées s’est accompagné de pro&ondes mutations qui touchent la structure de production notamment l’apparition du phénom2ne de concentration. 7n e1et, la concentration peut ;tre dé!nie comme un processus par lequel des entreprises se regroupent en ue de constituer une !rme plus grande. Il en résulte que le nombre d’entreprises diminue alors que leur taille augmente. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !concentration# $a croissance économique est l’augmentation durable de la richesse nationale accompagnée des changements structures économique. *es mutations touchent notamment la structure de production et plus particuli2rement les technique de production qui se traduit par le phénom2ne de concentration qui correspond au regroupent des entreprises. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction : répartition sectorielle )ntroduction !répartition sectorielle# La croissance économique se traduit non seulement par l4accroissement des richesses créées mais aussi par des trans&ormations qualitaties qui permettent de produire plus et mieu". Les principales trans&ormations qualitaties que l4on désigne par le terme mutations des structures économiques sont les mutations des structures de la production les mutations de la consommation. Pour les mutations de production elles se mani&estent par l’éolution de la répartition sectorielle )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !répartition sectorielle# $u cours de la croissance économique, les structures de la production connaissent de nombreuses mutations. *es mutations touchent la structure de consommation et la structure de production. Pour la structure de production, ces mutations se traduisent par l’éolution de la répartition sectorielle )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !répartition sectorielle# La recherche d’une croissance économique s’e"plique par un accroissement durable des per&ormances économiques. *et accroissement s’accompagne par des mutations de la structure de production et en particulier l’éolution de la répartition sectorielle )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !répartition sectorielle# L’accélération de la croissance économique que l’on obsere depuis la réolution industrielle s’est accompagné de pro&ondes mutations de l’appareil producti& et en particulier l’éolution de la répartition sectorielle )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !répartition sectorielle# La croissance économique est un phénom2ne durable qui désigne l’accroissement des richesses créées accompagnes par des mutations des structures économique qui touchent la production et la consommation. Pour les structures de production elles se traduisent par l’éolution de la répartition sectorielle )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !répartition sectorielle# La croissance économique est l’augmentation durable des grandeurs économique accompagnée par de nombreuses mutations non seulement de la consommation mais aussi de la production qui se traduisent par l’éolution de la répartition sectorielle )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !répartition sectorielle# La croissance économique qui se traduit par l’accroissement des richesses créées s’est accompagné de pro&ondes mutations qui touchent la structure de production notamment l’éolution de la répartition sectorielle. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !répartition sectorielle# $a croissance économique est l’augmentation durable de la richesse nationale accompagnée des changements structures économique. *es mutations touchent notamment la structure de production et plus particuli2rement l’éolution de la répartition sectorielle )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction : technique de production et exi%ilité )ntroduction !technique de production et exi%ilité# La croissance économique se traduit non seulement par l4accroissement des richesses créées mais aussi par des trans&ormations qualitaties qui permettent de produire plus et mieu". Les principales trans&ormations qualitaties que l4on désigne par le terme mutations des structures économiques sont les mutations des structures de la production les mutations de la consommation. Pour les mutations de production elles se mani&estent par l’éolution des techniques de production )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# $u cours de la croissance économique, les structures de la production connaissent de nombreuses mutations. *es mutations touchent la structure de consommation et la structure de production. Pour la structure de production, ces mutations se traduisent par le l’éolution des techniques de production. *ette éolution rapide des techniques de production s’e"plique en grande partie par l’intégration croissante du progr2s technique dans le processus de production. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# La recherche d’une croissance économique s’e"plique par un accroissement durable des per&ormances économiques. *et accroissement s’accompagne par des mutations de la structure de production et en particulier l’éolution des techniques de production )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# L’accélération de la croissance économique que l’on obsere depuis la réolution industrielle s’est accompagné de pro&ondes mutations de l’appareil producti& et en particulier l’éolution des techniques de production. *ette éolution rapide des techniques de production s’e"plique en grande partie par l’intégration croissante du progr2s technique dans le processus de production. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# La croissance économique est un phénom2ne durable qui désigne l’accroissement des richesses créées accompagnes par des mutations des structures économique qui touchent la production et la consommation. Pour les structures de production elles t se traduisent par l’éolution des techniques de production. 7n e1et, depuis la réolution industrielle, on assiste à l’accélération du rythme d’éolution des techniques de production. *ette éolution rapide des techniques de production s’e"plique en grande partie par l’intégration croissante du progr2s technique dans le processus de production )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# La croissance économique est l’augmentation durable des grandeurs économique accompagnée par de nombreuses mutations non seulement de la consommation mais aussi de la production qui se traduit par l’apparition et le déeloppement et l’éolution des techniques de production .7n e1et, depuis la réolution industrielle, ces techniques n’ont cessé d’éoluer. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# La croissance économique qui se traduit par l’accroissement des richesses créées s’est accompagné de pro&ondes mutations qui touchent la structure de production notamment l’éolution des techniques de production. 7n e1et, 7n e1et, depuis la réolution industrielle, ces techniques n’ont cessé d’éoluer. )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# $a croissance économique est l’augmentation durable de la richesse nationale accompagnée des changements structures économique. *es mutations touchent notamment la structure de production et plus particuli2rement les technique de production. )n assiste à l’accélération du rythme d’éolution des techniques de production. *ette éolution rapide des techniques de production s’e"plique en grande partie par l’intégration croissante du progr2s technique dans le processus de production )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  )ntroduction !technique de production# epuis la premi2re réolution industrielle 6usqu’à au6ourd’hui aec la réolution in&ormatique, passant par celle de la apeur, les techniques de production 'procédés et méthodes de production+ n’ont pas arr;té d’éoluer : elle sont passées de traditionnel comptant essentiellement sur l’actiité humaine, à des nouelles basées sur le progr2s technique et le machinisme )ntroduction partielle .........................// 'ro%lématique  Il s’agit de montrer dans une premi2re partie que l..puis dans une deu"i2me partie  (r samout Chapitre B : les couts de la croissance économique Les couts humains et sociaux *outs socio/ économiques Les inégalités La dégradation de l’environnement *outs L’épuisement de ressources naturelles enironnementa u" Les couts humains et sociaux La croissance n’est pas synonyme de l’amélioration du bien;tre, elle peut entrainer des couts humains et sociau" : "our les co4ts humains + ils se maniestent 5 tra!ers. -out d’abord, les trans&ormations douloureuses des modes de ie de la population : &atigue nereuses, stress, conditions de traail dé&aorables e plus, la santé humaine est menacée soit par la dé&orestation, la pollution, les trans&ormations climatiques, les déchets domestiques. 7n outre, la croissance entraine $ccentuation des maladies contagieuses et in&ectieuses ainsi que l’e"istence de chmage qui entra un groupe d’individus n’arrivent pas à satisfaire leur besoins fondamentaux% ce qui gén#re de forte inégalités entre les  pauvres et les ric!es 1exemple des pa&s du golfe3. #a croissance est une condition nécessaire au développement : "a croissance permet de créer des emplois% de distribuer plus des salaires% de dégager les mo&ens au développement de l’infrastructure% #e développement soutient la croissance : $--. *ette période est quali!é de N trente glorieuses O, elle se caractérise par l’abondant des mesures protectionnistes et la suppression progressie des obstacles a la libre circulation des marchandises. *ette suppression est suite à l’instauration du >$-- et aussi la production de masse caractérisant cette période suite a l’adoption de l’)F- 'méthode taylorisme et &ordisme+. urant cette période, le commerce mondial connait le plus &ort déeloppement de son histoire et il progresse à un rythme plus rapide que celui du PIB mondial. 0ntre les années *7<9 et *7=9, le commerce mondial connait un ralentissement à cause des deu" cocs pétroliers. *es deu" crises contribuent largement à ralentir la croissance économique et par la m;me, les échanges internationau". 0nfn, depuis l’année *7=9, le commerce mondial connait une croissance rapide suite à l’apparition de l’)(*. découert et au" innoations. *nal8ser l’essor du commence mondiale durant les Itrente glorieuses’ causse L’abondant des mesures protectionnistes et la suppression progressie des obstacles a la libre circulation des marchandises. *ette .suppression est suite à l’instauration du >$-L a production de masse caractérisant cette période suite a l’adoption de l’)F- 'méthode taylorisme et &ordisme+ Conséquences Le commerce mondial connait le plus &ort déeloppement de son histoire. Le commerce mondial durant cette période progresse à un rythme plus rapide que celui du PIB mondial. +volution de structure des échanges des %iens et services par produit +vol utio n struc ture de marc hand ises L’éolution de la structuré internationale des biens et serice par produit se caractérise par : /-out d’abord, la régression du produit de base : la part de produit primaire dans le commerce mondiale régresse suite à la baisse de demande et de pri" mondiale et la 3uctuation du cours mondiau". La part des produits énergétiques et minier suit une 3uctuation : si leur pri" augmente alors leur part dans le commerce mondial augmente et si leur pri" diminue alors leur part diminue aussi. /e plus, l’éolution se mani&este par la prédominance des échanges de produit manu&acturé : la part du produit manu&acturé dans le commerce mondiale augmente en raison de l’augmentation de la demande mondiale et l’intégration de progr2s technique et le déeloppement des moyens de transport qui &acilite l’échange. Le produit manu&acturé représente  du commerce mondial. +vol utio n struc ture de servi /7n outre, l’éolution se caractérise par la montée des échanges des serices : la part de serice dans le commerce mondiale connait une augmentation plus rapide suite à l’augmentation de la demande mondiale et le déeloppement des moyens de télécommunication, de plus le serice se déeloppe suite a la tertiarisation de l’économie mondiale et l’ouerture poussée des économies nationales ainsi que le déeloppement du commerce intra !rme et inter !rme multiplié par les 3u" de serices. La part de serice augmente plus rapidement que les marchandises, il représente VAW de PIB mondiale . +volution de structure des échanges des %iens activité!D)$# et services par ans un conte"te de mondialisation, on assiste à une ouerture de plus en plus grande des pays et une intensi!cation des échanges internationau". Le libre échange conduit à une spécialisation, qui a abouti à une diision internationale du traail. La I- suppose la spécialisation de chaque pays dans une production dont il est e#cace et qui se repose sur la dotation &actorielle de chaque nation.  D)$ ancienne La I- est une &orme de spécialisation de chaque pays. Dé fav or a%l (a vor a%l e Concernant la D)$ traditionnel  'ancienne+ elle se caractérise par : tout d’a%ord 0 l’e"portation du P7 des produits primaire a pri" &aible et l’importation des produit manu&acturé à pri" éleé ce qui gén2re une détérioration de terme de change et un dé!cit commerciale en raison de leurs spécialisations de l’augmentation de pri" à l’importation. Dé fav !$radit ionnel le# De plus, l’ancienne I- se caractérise par l’e"portation des pays déeloppés des produits manu&acturés à pri" éleé et l’importation des produits primaire à pri" &aible ce qui gén2re une amélioration de terme de change et un e"cédent commercial en raison de leurs spécialisations et de l’augmentation des pri" à l’e"portation.les pays industrielles disposent des aantages compétiti&s purs les produits manu&acturés Concernant la nouvelle D)$ 'nouvelle+ elle se caractérise par : (a vor a%l e D)$ ancien ne $out d’a%ord, les pays déeloppés ren&orcent leurs spécialisation, il e"porte des produits manu&acturé a haut technologie '&orte demande mondiale+, cette situation permet au pays déeloppés de pro!ter de plusieurs aantages : pri" da produit a &ort aleur a6outé, importation a pri" &aible, amélioration de leur terme de change. La nouelle I- o1re à ces pays l’aantage de se ren&orcer dans une nouelle spécialisation dans des produit 'hig -ech+ ce qui à ren&orcé leur prédominance dans le marché mondiale. ’autres coté, les échanges Kord/Kord se déeloppent plus que les échanges Kord/ Fud gr8ce à des accords bilatérau" et multilatérau" dans le cadre du libre échanges : on parle ainsi de la tripolarisation des échanges ou les pays déeloppés prennent une place leader, ceci est  6usti!é aussi par l’intensi!cation des échanges intra/ branche. De plus, certain P7 garde leur ancienne spécialisation, il e"porte des produits primaires banalisés à &aible aleurs a6outé et &aible pri" et pour lequel la demande mondiale éolue &aiblement et importe des produits manu&acturés à pri" éleé. D)$ nouv elle (a vor a%l e Dé fav or ’autre P7'KPI+ se sont spécialisés dans l’e"portation des produits manu&acturés et sont intégré de plus en plus dans le commerce mondial et deenus des concurrents directs pour les pays déeloppés. Leurs part à augmenté plus rapidement que celle des pays déeloppés en imitant ainsi la technologie en proenance de ces pays. La nouelle I- o1re à ces pays l’aantage de se ren&orcer dans une nouelle spécialisation dans des produit 'hig -ech+ ce qui à ren&orcé leur prédominance dans le marché mondiale. Les KPI ont ren&orcé leur position dans le commerce mondiale suite a la création d’un enironnement attracti& des inestissement étrangers et à la multiplication des T(K spécialisé dans la production des produits manu&acturés banalisé a &aible aleurs a6outés et suite aussi à l’intégration des nouelles technologiques dan le processus producti&s. ’autre P7 'P($+ oie leur situation se détériore de plus en plus 'ictime d’un échange inégal+ et deiennent marginalisé quantitatiement en raison de leur &aible part des e"portations et de leur &aible intégration sur le marché mondial et qualitatiement en raison de leur &aible spécialisation et de la régression de leurs produits à &aible aleur a6outé dont la demande mondiale est en déclin. *ette situation &aorise la dépendance et la détérioration des termes de changes. Les P($ représentant les pays les plus paures du monde, leur e"portation de produits primaires diminuent d’aantage ce qui aggrae leur situation. +volution de structure des échanges des %iens et services par %ranche L’7olution de structure des échanges des biens et serices par branche se mani&este par le commerce interbranche et le commerce intra branche Concernant le commerce inter%ranche : c’est l’échange de produit de nature dé&érents appartenant a des branches dé&érentes 'blé contre ordinateurs+. *e commerce s’e1ectue entre les pays à nieau de déeloppements di1érents. 7t il tient compte des couts sans tenir compte de la di1érentiation de produits. *e commerce représente une spécialisation par produit 'produit primaire et produit manu&acturé+. Concernant le commerce intra %ranche : c’est l’échange de produit similaire appartenant a des branches identique 'oiture %7K$UL- contre oiture (%F+. Les échanges intra branches sont dit croisés puisque les importations et les e"portations portent sur des produits similaires et non di1érenciés. Les produits échanges sont en général des produits manu&acturés ou de produits de l’industrie et plus particuli2rement les produits électroniques et in&ormatiques, matériels de transports. *e commerce s’e1ectue entre les pays a nieau de déeloppements proche 'pays industrialisés+ 0 il tient compte des la ariété et de la qualité de produit. *e commerce représente une spécialisation !ne 'dans la m;me catégorie de produit+. 7n résume, Le commerce intra branche correspond à des échanges de produits issus d4une m;me branche qui peuent ;tre di1érenciés horiDontalement aec des produits similaires de qualité identique 'par e"emple pour le secteur automobile, échange de carburateurs contre des batteries+ ou erticalement, aec une qualité di1érente 'échange de machines à ca&é de qualité di1érente+. Les facteurs  l’origine de développement du commerce inter %ranche !causes, raisons# Le déeloppement des échanges inter branches est lié notamment à la dotation &actorielle : *haque pays a tendre à se spécialiser dans la production des biens dont la &abrication nécessite relatiement le plus du ou des &acteurs de production dont il est relatiement le plus doté. Il e"porte des produits qui procurent le plus d’aantages et pour lesquels les dotations des &acteurs sont importantes. $u contraire, il importe les produits pour lesquels les dotations de &acteurs sont &aibles. 7n d’autre terme, chaque pays a intér;t à se spécialiser dans la production des biens pour lesquels ses coGts de production sont plus &aibles qu4à l4étranger, c4est/à/dire qu4il présente pour cette production un aantage absolu. Les pays ont importer les biens pour lesquels leurs coGts de production sont supérieurs à ceu" des concurrents étrangers. Les facteurs  l’origine de développement du commerce intra %ranche !causes, raisons# : par quoi se 4ustié l’évolution de commerce intra %ranche 7 Le déeloppement des échanges intra branches est lié notamment à l’hétérogénéité des consommateurs : il e"iste plusieurs segments de consommateurs. Lens entreprises di1érencient leurs produits a!n de mieu" répondre au" attentes d’une client2le di1érenciée. *e commerce permet au consommateur de béné!cier d’une plus grande ariété 'di1érentiation horiDontale+ aec des pri" proche et de béné!cier d’une di1érence de qualité 'di1érentiation erticale+ c4est/à/dire aoir des produits de haut gamme et de bas gamme aec des pri" di1érents et de satis&aire les besoins des consommateurs selon leu reenu. De plus, ce commerce permet au consommateur d’aoir une consommation hétérog2ne et de pro!ter d’une plus grande di1érentiation / +n outre, le déeloppement du commerce intra branche se 6usti!é par la recherche d’économies d’échelles : les entreprises ont intér;t à accroitre leurs parts de marché non seulement sur le plan national mais sur le plan international aussi pour réaliser des économies d’échelle 'production a plus grande quantité a &aible couts+. Les pays gr8ce a leurs spécialisations 'des produits à &orte aleur a6outée+ sont soumis à des grandes pressions concurrentielles qui poussent à maitriser les couts de productions a partir de la réalisation. onc l’échange intra branche &aorise la compétitiité pri" suite au" gains de productiité 'combinaison productie plus capitalistique+ c4est/à/dire &aible cout de production. D’autre coté, ce commerce permet au pays de se spécialiser dans des produits a &orte aleur a6outée+ et dans des créneau" spéci!ques et de réaliser des inestissements rentables et couteu" qui &aorise la réalisation de la compétitiité hors pri" en terme de qualité et di1érentiations des produits. Distinguer entre commerce intra %ranche de qualité et commerce intra %ranche de variété +xpliquer les deux formes de commerce intra %ranche *ommerce intra branche de qualité 'di1érentiation erticale+ : correspond a un commerce de produit similaire mais di1érencié erticalement 'qualité et pri" di1érents+ : aoir des produits de haut gamme et de bas gamme aec des pri" di1érent a !n de répondre au besoin de consommateur selon leur reenu. *ommerce intra branche de ariété 'di1érentiation horiDontale+ : correspond a un commerce horiDontale des produits similaires et di1érencié par le couleur : o1rir des produits di1érencié et arié a !n de répondre a l’hétérogénéité de consommateur 'pri" proche+. Le commerce intra %ranche est %énéque au consommateur L’échanges intra branche est pro!table pour le consommateur. $out d’a%ord, ce commerce permet au consommateur de béné!cier d’une plus grande ariété 'di1érentiation horiDontale+ aec des pri" proche et de béné!cier d’une di1érence de qualité 'di1érentiation erticale+ c4est/à/dire aoir des produits de haut gamme et de bas gamme aec des pri" di1érents et de satis&aire les besoins des consommateurs selon leu reenu. De plus, ce commerce permet au Le commerce intra %ranche est %énéque a producteur L’échanges intra branche est pro!table pour le producteur. -out d’abord, ce commerce permet d ren&orcer la concurrence entre les entreprises en raison de l’hétérogéniste et la di1érentiation des produits. De plus, ce commerce permet au pays de se spécialiser dans des produits a &orte aleur a6outée+ et dans des créneau" spéci!ques et de réaliser des inestissements rentables et couteu" .+n outre, ce commerce permet la réalisation des économies d’échelle : production a consommateur d’aoir une consommation hétérog2ne et de pro!ter d’une plus grande di1érentiation plus grande quantité a &aible couts ontrer que le commerce intra%ranche est prota%le au consommateur et au producteur ontrer que le commerce compétitivité intra%ranche permet de réaliser la : Commerce )ntra %ranche et compétitivité prix L’éolution des échanges intra branche assure la compétitiité pri". Les pays ont intér;t à échanger les produits similaires appartenant à la m;me branche a la recherche d’une compétitiité pri". 7n e1et, les pays déeloppes gr8ce a leurs spécialisation !ne 'des produits a &orte aleur a6outée+ sont soumis a des grandes pressions concurrentielles qui poussent à maitriser les couts de productions a partir de la réalisation. Le commerce intra branche permet la réalisation des économies d’échelle : production a plus grande quantité a &aible couts. 7n outre, l’échange intra branche &aorise la compétitiité pri" suite au" gains de productiité 'combinaison productie plus capitalistique+ c4est/à/dire &aible cout de production. ’autre coté, les payes déeloppées se spécialisent dans des produits comparables à des pri" di1érents : donc des produits de bas gamme à &aible pri" .a la recherche d’une compétitiité pri" Commerce intra %ranche et compétitivité hors prix !structurelle# L’éolution des échanges intra branche assure la compétitiité pri". Les pays ont intér;t à échanger les produits similaires appartenant à la m;me branche a la recherche d’une compétitiité structurelle. 7n e1et, le déeloppement du commerce intrabranche permet de ren&orcer la concurrence entre les entreprises en raison de l’hétérogénéité et de la di1érentiation des produits. e plus, ce commerce permet de béné!cier d’une plus grande ariété 'di1érentiation horiDontale+ aec des pri" proche et de béné!cier d’une di1érence de qualité 'di1érentiation erticale+ c4est/à/dire aoir des produits de haut gamme et de bas gamme aec des pri" di1érents et de satis&aire les besoins des consommateurs selon leu reenu. 7n outre, le commerce intra branche se traduit l’importance des inestissements rentable et couteu" qui &aorise la réalisation de la compétitiité hors pri" en terme de qualité et di1érentiations des produit / +volution de structure des échanges des %iens et services par pa8s !géographique# L’éolution de structure des échanges des biens et serices par pays se mani&este par la tripolarisation des échanges internationau" et la répartition géographique des échanges. Concernant la tripolarisation, le commerce mondiale est deenu une commerce tripolaire, il est centre sur trois grande Dones : un pole européen dominé par l’union européen 'il attire les pays européen+ et un pole asiatique dominé par le 6apon 'il attire d’autre pays oisin de 6apon+ et pole américain dominé par l’UF$ 'il attire d’autres pays d’$mérique+. -oute &ois les échanges internationau" ne se limitent pas au nieau de commerce intra Done, mais ils se déeloppent aussi entre les di1érents ples appelés commerce inter Done : l’$mérique déeloppe son échange aec l’$sie et l’7urope déeloppé aussi leurs échanges aec l’$mérique. ’autre part, le commerce interDone est plus important que le commerce intraDone qui ne représente que CAW du commerce mondiale. 9olde commerciale positif: excédent commercial 9olde commerciale négatif : décit commercial Une bonne santé d’une économie est 6usti!ée par /Une augmentation des e"portations /une amélioration de la compétitiité /Une baisse des importations Une bonne santé d’une économie est 6usti!ée par : /$ugmentation des approisionnements en mati2re premi2re et biens d’équipements nécessaires à la croissance économique. Une mauaise santé d’une économie est  6usti!ée par : /un ralentissement de l’actiité économiques et par la suite une baisse des importations Une mauaise santé d’une économie est 6usti!ée par : /une augmentation des importations / &aiblesse e"portations Concernant la répartition géographique des échanges, le commerce mondial est pro!table surtout pour les pays déeloppés qui représente les principau" e"portateurs des produits manu&acturé. ’autre pays 'KPI+ e"porte des produits manu&acturé et deiennent des concurrents directs pour les P. $lors que d’autre pays'P($+ reste marginalisé quantitatiement en raison de leur &aible part des e"portations et de leur &aible intégration sur le marché mondial et qualitatiement en raison de leur &aible spécialisation et de la régression de leurs produits à &aible aleur a6outé dont la demande mondiale est en déclin ontrer que le commerce inter%ranche  permet de réaliser la compétitivité Le commerce inter %ranche améliore la compétitivité prix le commerce interbranche est l’échange de produit de nature dé&érents appartenant a des branches dé&érentes 'blé contre ordinateurs+. L’éolution des échanges inter branche assure la compétitiité pri". -out d’abord, chaque pays a tendre à se spécialiser dans la production des biens dont la &abrication nécessite relatiement le plus du ou des &acteurs de production dont il est relatiement le plus doté. *ette La spécialisation permet d’économiser du traail, de réduire les coGts unitaires et d’accro