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cous bac 2

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*r samout +mmar Chapitre 1 : la croissance économique Défnition et aspects de la croissance économique Notion de croissance intensive et de croissance extensive La croissance économique phénomène irrégulier Quantité de travail et croissance économie Qualité de travail et croissance économique Revenu Revenu rémuné rémunérat ration ion et croiss croissanc ance e économ économii ue La croissance économique est l’amélioration des performances de l’économie : augmentation de la production nationale des biens et services, de la consommation, des revenus, de l’épargne, de l’investissement, Toutes les grandeurs économiques augmentent sur une très longue période et les besoins se multiplient. Défnition et aspects de la croissance économique Défnition : C’est l’augmentation l’augmentation durable durable de la richesse nationale accompagnée des changements structures économiques .  phénomène quantitati quantitati elle est mesurable à l’aide d’un indicateur synthétique : le !" qui mesure la production totale d’un pays. #ne augmentation de !" montre une augmentation de l’activité économique. un phénomène qualitati  qualitati  $hangements de la structure de la population active : baisse de l’emploi dans le secteur agricole au pro%t du secteur secondaire puis tertiaire.  Transformation  Transformation de la structure structure de la production : baisse du !" dans le secteur agricole au pro%t des autres secteurs. $hangement des conditions de la concurrence : développement de la concentration des entreprises &des grandes entreprises apparaissent, les petites entreprises en di'cultés disparaissent. (uverture sur l’e)térieur.  Transformation  Transformation au niveau niveau de la structure de la consommation : e)emple e)emple : baisse de coe'cient budgétaire de l’alimentation au pro%t des services Notion de croissance intensive et de croissance extensive Croissance extensive : La production augmente suite à La hausse de la quantité d’un facteur de production. Hausse de la productivité assez faible. Exemple : lorsque l’agriculteur emploie plus de travailleur de plus pour augmenter sa production. croissance intensive La production augmente suite à ne plus grande e!cacité de leur combinaison.. "roissance de la productivité. Exemple : un agriculteur travaille seul et poss#de des mo$ens techniques lui permettant d’augmenter la productivité. Modalités C.extensive oints communs +ugmentation durable des richesses créées accompagnées par des mutations des structures économiques oints de di!érences C. intensive -ésulte de l’augmentation des facteurs de production &plus de *(, plus de $apital -ésulte de l’amélioration de l’e'cacité des facteurs de production &T,formation0 ermet de créer les emplois &baisse le ch/mage ermet de détruire les emplois &augmente le ch/mage "a croissance économique phénomène irrégulier L’irrégularité de la croissance : L’observation de l’évolution de la croissance économique sur le long terme fait apparaitre que celle1ci évolue à un rythme irrégulier 2 en e3et durant certaines périodes elle s’accélère, et durant d’autres périodes elle décélère. (n constate donc que la croissance n’est pas un phénomène uniforme car elle se caractérise par des 4uctuations.  budgétaire de l’alimentation au pro%t des services Notion de croissance intensive et de croissance extensive Croissance extensive : La production augmente suite à La hausse de la quantité d’un facteur de production. Hausse de la productivité assez faible. Exemple : lorsque l’agriculteur emploie plus de travailleur de plus pour augmenter sa production. croissance intensive La production augmente suite à ne plus grande e!cacité de leur combinaison.. "roissance de la productivité. Exemple : un agriculteur travaille seul et poss#de des mo$ens techniques lui permettant d’augmenter la productivité. Modalités C.extensive oints communs +ugmentation durable des richesses créées accompagnées par des mutations des structures économiques oints de di!érences C. intensive -ésulte de l’augmentation des facteurs de production &plus de *(, plus de $apital -ésulte de l’amélioration de l’e'cacité des facteurs de production &T,formation0 ermet de créer les emplois &baisse le ch/mage ermet de détruire les emplois &augmente le ch/mage "a croissance économique phénomène irrégulier L’irrégularité de la croissance : L’observation de l’évolution de la croissance économique sur le long terme fait apparaitre que celle1ci évolue à un rythme irrégulier 2 en e3et durant certaines périodes elle s’accélère, et durant d’autres périodes elle décélère. (n constate donc que la croissance n’est pas un phénomène uniforme car elle se caractérise par des 4uctuations.  Les 4uctuations représentent un ensemble de mouvements à la hausse et à la baisse, c6est1à1dire des mouvements ascendants et descendants de l’activité économique. La croissance phénom#ne c$clique : #n cycle en économie est un concept qui dé%nit les 4uctuations de l’activité économique en les décomposant en une succession de phases qui se répètent dans le temps. $ette répétitivité ne se réalise pas à l’identique 2 l’amplitude et la durée &périodicité ne sont tou7ours pas les m8me. $haque cycle économique se décompose donc en : 9 L"expansi "exp ansion on : phase caractérisée par l’augmentation rapide du volume de toutes les variables économiques &la production, la demande, l’investissement0 l’investissement0 le tau) de croissance croissance annuel du !" est donc soutenu. Crise : point de retournement supérieur : le ma)imum du cycle économique. économique. $’est la %n de la phase d’e)pansion d’e)pansion et le début d’une phase de diminution. 9 La récession : phase désigne le ralentissement de l’activité économique, économique, ainsi la l a production continue à augmenter mais à un rythme plus faible, le tau) de croissance du !" est tou7ours positif mais il diminue d’une année à une autre. 9 La dépression : c’est une phase critique de la vie économique puisque tous les indicateurs connaissent une diminution de !" et le tau) de croissance du !" devient négatif. 9 La reprise : un autre un autre point de retournement inférieur représentant le minimum cyclique. $’est un point qui annonce ainsi la %n de la récession &ou de la dépression et le début d’une nouvelle e)pansion c’est à dire d’un nouveau cycle. Quantité de travail et croissance La quantité du travail dépend de la population active et de la durée du travail. Mobilisation importante de la pop active &$ démographique, solde migratoire migratoire positif, travail de la femme0 111 +ugmente les possibilités de production111C.#. production111C.#. ***Importance ***Importance quantitative du travail dans la croissance La quantité du travail dépend de la population active et de la durée du travail. La population active agit positivement sur la quantité du travail à travers l’accroissement démographique, le solde migratoire, la participation de la femme dans la vie active, l’âge de retraite et la scolarisation des jeunes. L’exemple L’exemple de l’Asie de l’Est montre que l’accroissement de la natalité a fait augmenter le ratio actif inactif ce qui montre l’augmentation de la production par rapport à la consommation. Lorsque la population active s’accroit, l ’épargne augmente ce qui fait augmente l’investissement 5  Lorsque la la population population active occupée occupée augmente augmente (croissance (croissance extensive), extensive), le taux de croissance de PIB augmente. ####Durée du travail : 1;i la durée du travail du travail augmente111+ugmentation augmente111+ugmentation de la production111C.#. production111C.#. 1;i la durée du travail baisse111 $réation des nouveau) emplois111lus des revenus tat sous forme d’augmentation de ses recettes +u) actionnaires sous forme d’augmentation des dividendes. %mportance des revenus de travail dans la croissance L’augmentation L’augmentation des revenus de travailleurs va contribuer à l’augmentation l’augmentation de la croissance économique, en e3et : L’augmentation L’augmentation de revenu signi%e l’augmentation de l’épargne des ménages, les entreprises pourront alors béné%cier d’une capacité de %nancement plus importante, ce qui les encourage à augmenter leurs productions et donc de réaliser une croissance économique plus importante. L’augmentation L’augmentation de revenu signi%e l’amélioration de pouvoir d’achat, les ménages vont donc augmenter leur consommation, a%n de répondre à cette demande supplémentaire, les entreprises vont augmenter leur investissement et leur production, c6est1à1dire une croissance économique plus importante. L’augmentation de revenu représente une source de motivation et d’encouragement pour les travailleurs qui vont chercher à améliorer la qualité et la quantité produite et par suite la réalisation de la croissance économique. investissement l"investissement permet d"accroitre l"o$re production!  l"investissement contri%ue & modifé l"o$re production! L’investissement contribue à accroitre la L’investissement contribue à améliorer la croissance économique par son action sur croissance économique par son action sur l’o3re. l’o3re. Tout d’abord, à travers le  Tout d’abord, l’investissement permet à la fois renouvèlement et l"amélioration des d’augmenter les quantités produites et capacités de production : quelle que soit sa d’améliorer la qualité des produits. >n e3et forme, l’investissement permet d’améliorer les l’investissement permet au) entreprises capacités de productions de production et d’améliorer les quantités produites et la qualité d’augmenter les quantités produites. lles peuvent aussi lancer de facteurs. L’amélioration de la productivité qui nouveau) produits et ouvrir de nouveau) peut en résulter favorise l’augmentation des marchés. >n outre, les investissements e)portations qui dynamisent la croissance immatériels et l’innovation permettent au) économique. >n outre, l’investissement génère entreprises de di3érencier leurs produits et des e$ets d"entrainement c6est1à1dire d’améliorer leurs compétitivités. +ussi, permet de stimuler d’autres investissement et l’implantation des entreprises dans une accroit par conséquent la croissance. +ussi, technopole permet le partage des connaissances l’investissement pro%te non seulement à et de quali%cation ce qui contribue à l’entreprise qui à supporter son cout mais il l’amélioration de la qualité o3erte. peut pro%ter aussi au) autres entreprises améliorant ainsi leur e'cacité productive et augmentant la richesse qu’elles créent externalité positive! l"investissement contri%ue & accroitre la demande consommation! ? l"investissement contri%ue & modifer la demande consommation! L’investissement contribue à accroitre la croissance économique par son action sur la demande. Tout d’abord, par ses e3ets en tant que composante de la demande : l’investissement se traduit par une demande supplémentaire de biens d’équipement pouvant stimuler la production. n outre, l’investissement permet d’intégrer le progrès technique et de réaliser des gains de productivité. $es gains sont repartis entre les agents économique et permet de stimuler chaque composante de la demande et génère une augmentation des salaires pouvant améliorer le pouvoir d’achat des ménages et accroitre la consommation, elle permet aussi une augmentation des pro%ts des entreprises pouvant accroitre leurs investissements et elle entraine une augmentation des recettes publiques de l’>tat pouvant servir à augmenter les investissements publics. L’investissement permet de créer des innovations et de di3érencier ainsi que de diversi%er les produits, ceci va créer des nouveau) besoins et modi%e donc la demande. n outre, l’investissement génère des e3ets L’investissement permet d’améliorer la compétitivité hors pri). Tout d’abord, l’investissement de toute nature est capable d’améliorer la compétitivité hors pri). our l’investissement de remplacement, elle permet de moderniser les techniques de production et d’assurer une production à Céro défaut et de meilleures qualités ainsi que la di3érentiation et la diversi%cation de produits, ce qui assure la compétitivité hors pri). our l’investissement de modernisation, elle permet d’intégrer les nouveautés, les progrès techniques vers une nouvelle entreprise de plus en plus e'cace, moderne, rentable qui rependent au) e)igences de consommateurs, ce qui assure la compétitivité hors pri). >n outre, l’investissement génère des e3ets d’entrainement c6est1à1dire permet de stimuler d’autres investissement ce qui permet d’améliorer la productivité et la compétitivité hors pri) suite à la présence de produit de meilleur qualité qui rependent au) besoins de consommateurs. +ussi, l’investissement pro%te A d’entrainement c6est1à1dire permet de stimuler d’autres investissement à supporter son cout mais il peut pro%ter aussi au) autres entreprises améliorant ainsi leur e'cacité productive et d’améliorer la productivité et de réaliser des économies d’échelle.ce qui permet d’améliorer la productivité et la compétitivité pri) suite à la maitrise de production +ussi, l’investissement pro%te non seulement à l’entreprise qui non seulement à l’entreprise qui à supporter son cout mais il peut pro%ter aussi au) autres entreprises améliorant ainsi leur e'cacité productive d’améliorer la qualité de produit de l’innovation et d’e)ploiter les avances technologiques et le savoir et savoir1faire et les connaissances ce qui favorise la compétitivité hors pri). (change extérieur L"importation contri%ue & accroitre la croissance Les e)portations dynamisent la croissance économique. Tout d’abord, elles favorisent l’entrée de devises a3ectée pour %nancer les investissements et augmenter les richesses et créer d’emplois et augmenter des revenus. n outre, les e)portations procurent des ressources %nancières à l’>tat destinés au) investissements publiques qui dynamisent l’entreprise à produire plus. +ussi, les recettes en devises des e)portations a3ectées au) investissements dans la modernisation, éducation, formation. $eci permet de générer une amélioration de la qualité de mains d’ouvre et de satisfaire les besoins L"exportation contri%ue & accroitre la croissance Les importations dynamisent la croissance économique. Tout d’abord .elles permettent de s’approvisionner en matières première et énergétiques ce qui entraine l’augmentation de la production et donc la croissance. n outre, l’importation permet l’amélioration de productivité suite à la modernisation de l’appareil productif et l’accès de nouvelle technologies ce qui stimule la croissance L"importation contri%ue & réaliser la compétitivité L’e)portation permet d’améliorer la compétitivité pri) et hors pri) &structurelle. $oncernant la compétitivité prix, les recettes d’e)portation permet le développement des investissements matériel et immatériel, ceci encourage les entreprises nationales, à développer leurs activité et de réaliser l’économie d’échelle ce qui entraine l’amélioration des gains de productivité et d’o3rir des produits à faible pri). n outre, l’importation des biens et services rend les entreprises nationales plus dynamiques et plus concurrentielles ce génère la baisse de pri) et l’amélioration de compétitive pri) $oncernant la compétitivité hors prix, les importations de matière première permet à une économie de s’approvisionner de meilleur qualité ce qui généré l’augmentation de production à Céro défaut adaptable au) e)igences de consommateurs. volutions de la répartition sectorielle du !" Fle secteur primaire : le poids de ce secteur sectoriel dans le !" connaIt une très grande réduction Fle secteur secondaire : son poids était très important dans le !" mais il régresse. Fle secteur tertiaire : le poids de ce secteur dans le !" ne cesse d’augmenter &tertiarisation >volutions sectorielle de la population active F;ecteur primaire : l’emploi dans l’agriculture a baissé considérablement notamment avec le progrès technique et la révolution industrielle. Fsecteur secondaire : 7usqu6à HE la part de l’industrie dans l’emploi augmente puis il diminue Fsecteur tertiaire : l’emploi dans le tertiaire progresse FFFFFF+u cours de la croissance, la répartition sectorielle du !" évolue. $ette évolution se manifeste par : 1 #ne diminution de la contribution du secteur primaire dans le !". $ette contribution était très élevée puis ce secteur cède sa place au secteur secondaire. 1 Le secteur secondaire connaIt une légère progression. ;a contribution dans le !" était la plus importante, mais son poids dans le !" se réduit. 1 Le secteur tertiaire connaIt une évolution de pl us en plus importante. ;on poids dans la !" augmente de plus en plus rapide. ;a contribution dans le !" évolue sans cesse. (n parle alors de la tertiarisation de l’économie qui signi%e la domination du secteur tertiaire au pro%t des autres secteurs. ####L’évolution sectorielle de la population active au cours de la croissance économique se manifeste par : un déclin de l’emploi dans le secteur primaire, alors on assiste à une augmentation temporaire dans le secteur secondaire puis une diminution de la part de l’emploi. >nsuite progression de l’emploi dans le H secteur tertiaire. Le poids important du secteur tertiaire dans le !" ainsi que dans la population active désigne l’e)plosion du secteur tertiaire. Remarque1 : mani'estation. explication. )ustifcation de la tertiarisation La tertiarisation de l’économie signi%e la domination du secteur tertiaire au pro%t des autres secteurs au niveau du !" et au niveau de l’emploi. $eci s’e)plique par : 1le changement du comportement du consommateur qui demande de plus en plus de services gr@ce à l’augmentation de revenu. 1le changement du comportement du producteur qui oriente son activité à la production du service K plus rentable 1l’utilisation de machine moderne au lieu des travailleurs 1la forte demande de services encourage le producteur à créer d’emploi 1le développement des emplois précaire &peu rémunéré, peu sécurisé L’e)ternalisation des activités industrielles par les entreprises qui peuvent porter sur des activités de services &entretien, informatique, publicité Remarque1 : peut-on parler de la sta%ilité des emplois dans le secteur tertiaire Le secteur tertiaire attire des emplois non stable dans les domaines suivants &informatique, santé, enseignement. $es emplois nécessitent une main d’ouvre quali%é et polyvalente. Le secteur tertiaire attire des emplois stable dans les domaines suivants &commerce, tourisme, transport, 7ardinage. $es emplois nécessitent une main d’ouvre non quali%é. L"évolution des techniques de production n outre, l’évolution de technique de production constitue un facteur d’attraction des investissements directs étrangers qui favorisent la création de nouveau) emplois. (ntraine la %aisse du niveau de l"emploi  Tout d’abord, l’évolution des techniques de production génère des gains de productivités qui réduisent les besoins des entreprises en main d’ouvre. +insi des travailleurs peuvent perdre leurs emplois. n outre, l’évolution rapide des techniques de production pousse les entreprises à adapter des nouveau) procédés. La faillite des entreprises qui sont incapables de se restructurer entraine la baisse du niveau de l’emploi. La concentration des entreprises La mondialisation des économies pousse les entreprises à une course à la taille. $et accroissement de la dimension des entreprises résulte des opérations de croissance interne et e)terne 2 dont la conséquence ma7eure est le phénomène de concentration. Le phénomène de concentration est apparu comme le résultat d’un processus d’élimination des entreprises en di'cultés qui sont absorbées par d’autres entreprises. uis suite au) avantages multiples dont ont béné%cié les  grandes entreprises, la concentration devient également volontaire et apparaIt actuellement comme une stratégie de croissance et de compétitivité. $oncentration horiContale &activité similaire : c’est le regroupement des entreprises ayant la m8me activité c’est1à1dire opérant dans le m8me secteur et au m8me stade de production. >lle permet 1+mélioration de la qualité du produit %nis. 1 -éduire les coOts de production &économie d’échelle. 1largir la gamme des produits vendus 9 di3érenciation améliore la compétitivité structurelle. 111111L’intégration des entreprises concurrentielles &concentration horiContale permet d’améliorer leurs compétitivités prix à travers : 1La diminution de la concurrence et la domination du marché suite à la diminution des nombres des entreprises : our pouvoir s’introduire sur le marché, s’y maintenir ou s’y développer, il faut avoir une taille critique qui est imposé par le marché. $ette forme de concentration permet une augmentation de part de marché ainsi que la possibilité de %)er des pri) élevés. 1La réalisation des économies d’échelle : >n e3et, la diminution des coOts de production gr@ce à la diminution des coOts des approvisionnements en matières premières et gr@ce à une production à grande échelle, le coOt moyen diminue à cause d’une meilleure répartition des charges %)es. lle permet aussi l’élargissement et la diversi%cation de la gamme des produit ce qui favorise la compétitivité hors prix/ Remarque : quels sont les avantage de la concentration hori5ontal pour le ménage el les entreprise/ ? les avantages pour les entreprises +ugmenter la part du marché PPQ réalisation de l6économie d6échellePPQ baisse des couts de production PPQ possibilité de baisser le pri) de vente à un niveau inférieur à celui des concurrents PPQ compétitivité pri) +tteindre la taille critique et éliminer les concurrents pour dominer le marché des biens et services +méliorer la qualité des produits fabriqués etRou vendus en combinant le savoir et le savoir1faire, ceci améliore la compétitivité structurelle de l6entreprise tre le monopole sur le marché des biens et services ce qui o3re à l6entreprise un pouvoir de négociation avec les fournisseurs des matières premières, ce qui participe à baisser les couts de production et d6améliorer par la suite la compétitivité1pri) de l6entreprise les avantages pour les ménages #ne baisse des pri) ce qui améliore son niveau de vie avoir la meilleure qualité des produits %nis #n élargissement des choi) pour les biens consommés $oncentration verticale &activité complémentaire : c’est le regroupement des entreprises ayant des activités complémentaire : intégration des entreprises e3ectuant diverses étapes de productions. >lle permet : Remonter la flière : concentration verticale en amont &avec les fournisseurs $ontr/ler les activités des fournisseurs : 1 "aisser les coOts des approvisionnements, +méliorer la qualité. Descendre la flière : concentration verticale en aval &avec les clients $ontr/ler les activités des clients : +ugmenter la masse béné%ciaire, $ontr/ler les activités et les conditions de vente La concentration verticale améliore la compétitivité prix suite à la baisse des courts des matières première &gr@ce à l’intégration des fournisseurs et la supervision des marges béné%ciaires &gr@ce à l’intégration des clients La concentration verticale améliore la compétitivité hors prix suite au contr/le de la qualité des matières premières&en amont et contr/le des activités des ventes &distribution, marSeting. our le $ontr/le des activités des fournisseurs &en amant , elle permet d’assurer la bonne qualité des matières premières 9 compétitivité structurelle. +lors que pour le $ontr/le des activités des clients &en aval elle permet d’augmenter les moyens béné%ciaires, aussi pour contr/ler les activités de commercialisation et de marSeting ceci permet d’améliorer la compétitivité structurelle. A $oncentration conglomérale &activité diversi%és : c’est le regroupement des entreprises ayant des activités diversi%é c’est1à1dire les entreprises sont indépendantes les unes des autres en ce qui concerne leurs produits et leurs réseau) commerciau). >lle permet t améliore la compétitivité hors prix suite à la diversi%cation des activités et donc des produits. Remarque : FLa concentration horiContale >)emples : $arrefour R romodes 2 Total1>lf1ina 2 "M1aribas 2 $$1U;"$ FLa concentration verticale >)emples : *ichelin achetant des plantations d’hévéa FLa concentration conglomérale >)emples : Vivendi1universal. "ouygues R T Concentration volontaire et concentration involontaire : La concentration volontaire est une stratégie d’une entreprise qui vise à accroItre la taille a%n d’entamer plusieurs mobiles : $’est un accord entre les entreprises pour se réunir ensemble. *ais la concentration involontaire est une phase d’élimination d’un certain nombre d’entreprise en di'culté en cas des crises par e)emple. $e n’est pas un choi), ni un accord mais suite à une situation de faillite surtout pour les petites entreprises qui vont disparaitre pour laisser place au) grandes entreprises. Question : montrer que la concentration des entreprises améliore la compétitivité/ "a &exibilité des techniques de production D 9+dapter la production au) besoins des clients &délai, volumes, innovations dans la fabrication ou la conception des produits. >lle permet d’atteindre une réactivité : capacité d’une entreprise à répondre rapidement au) appels de son environnement. Les techniques de production deviennent de plus en plus 4e)ibles pour répondre à une augmentation ou une modi%cation de la demande et au) 4uctuations et aléas &risques des capacités de production &pannes de machines La 4e)ibilité des ateliers est possible au7ourd’hui gr@ce au progrès technique. #n atelier 4e)ible se caractérise par : des machines programmables, des machines assister par ordinateurs capables de produire à l’unité, des machines capables de modi%er la demande , des machines qui reproduisent sans stocS indéterminé, des machines qui peuvent o3rir des gammes de produits fabriques sur une m8me chaine. La 4e)ibilité des techniques de production a pour ob7ectifs : Frépondre au) 4uctuations de la demande : répondre au) modi%cations quantitatives de la demande &satisfaire une demande supplémentaire et répondre au) modi%cations qualitatives de la demande &satisfaire une demande plus variées. Frépondre au) variations des activités : mettre en place des modes et des techniques de production plus élaborées, e'caces. Frépondre à la variation des capacités de production en fonction des pannes de machines et l’absentéisme. #n atelier 4e)ible e)ige: 6ne pol7valence des équipements : capacité des chaInes de production de produire des biens qui répondent mieu) à la demande. $ar on produit une large gamme des produits : plusieurs modèles de m8me bien. >lle permet de produire à l’unité ou à une grande quantité a %n de répondre a une demande supplémentaire du marché et de produire en meilleurs qualité avec des délais de livraison plus court a%n de répondre au) besoins des consommateurs. 6ne pol7valence des travailleurs : qui lui permet de s’adapter au) changements de l’environnement économique, il peut faire des taches di3érentes car les machins utilisées ont un fonctionnement assisté par ordinateur peuvent tomber en panne. n e3et, la croissance économique permet de créer les emplois et distribuer plus de revenu. >n plus, la croissance économique génère des gains de productivité qui sont, une fois répartis, permet de baisser les pri) et d’augmenter les salaires et mettre à la disposition des ménages des services collectifs qui contribuent à l’amélioration du niveau de vie. L’amélioration du niveau de vie permet d’améliorer à son tour la croissance économique. >n e3et, toute amélioration du niveau de vie va inciter la consommation et l’épargne. our la consommation en masse, la production va augmenter ce qui améliore la croissance économique. our l’épargne ceci est considéré comme une source pour augmenter l’investissement 2 la production et la croissance. >n outre, la croissance favorise la réalisation des économies d’échelle&baisse de cout unitaire et augmentation de production ceci se traduit par une augmentation de la consommation pour le ménage suite à l’amélioration du pouvoir d’achat. tat ce qui permet de développer les services publics marchands et non marchand et donc l’amélioration du niveau de vie. Niveau de vie------------------- croissance H L’amélioration du niveau de vie permet d’augmenter la croissance économique suit à l’augmentation de la consommation et l’amélioration du pouvoir d’achat. n outre, l’amélioration de niveau de vie engendre la création du dynamisme d’investissement de la part des entreprises : nouveau emplois, augmentation des pro%ts, promouvoir les e)portations ce qui favorise la croissance. Remarque : Les nouvelles techniques de production permettent d"améliorer le niveau de vie mo7en des ménages : 1 Les nouvelles techniques de production ont favorisé les investissements &privés et publics ce qui se traduit par une création d’emploi dans plusieurs secteurs et domaines de production donc une multiplication des revenus 111 +mélioration du niveau de vie moyen des ménages. 1Les nouvelles techniques de production favorisent une baisse des coOts de production &possibilité de diminuer le facteur travail ce qui baisse les coOts salariau) et les charges sociales donc une baisse des pri) ce qui augmente le pouvoir d’achat des consommateurs111+mélioration du niveau de vie moyen des ménages. 1 Les nouvelles techniques de production permettent de réaliser des économies d’échelle &suite à la production en série, ceci est source d’une baisse de pri) de vente et donc amélioration de niveau de vie moyen des ménages. 1 <’autre part, les gains de productivité issus de l’amélioration de l’e'cacité du facteur capital suite à l’utilisation des nouvelles techniques de production, augmentent les recettes de l’>tat ce qui signi%e une abondance des services publics marchands et non marchands o3erts pour les ménages 111 +mélioration du niveau de vie moyen des ménages. Question : montre5 que les techniques de productions ont évolué au cours de la croissance économiques9 puis explique5 comment cette évolution a permis une amélioration de niveau de vie mo7en d"un pa7s/ Remarque L"évolution du niveau de vie : n se ré'ère au (C%) réel*h + (C %) réel , (C - ; ?> réel.h @A: Le niveau de vie s"améliore/ 5J ; réel.h BA: Le niveau de vie se détériore/ "’évolution de la structure de la consommation : La structure de consommation peut 8tre saisie à l’aide decoe'cient budgétaire &W  en ! E dépenses relatives & une ru%rique . total desdépenses! F 1AA "’utilité de   1 $hi3rer les dépenses de consommation d’une rubrique dans le total des dépenses. 1 ermet d’appréhender l’évolution de la structure de consommation dans le temps et dans l’espace. "es lois d’#ngel : >ngel est un économiste qui a dé%ni un certain nombre de lois visant à montrer l’évolution des modes de consommation dans le temps en fonction de la variation des revenus. $es lois s’appliquent dans le cas d’une augmentation du revenu disponible : Loi 1 : Les dépenses alimentaires augmentent moins vite que le revenu. Loi + : Les autres dépenses liées à des besoins primaires &logement, chau3age, habillement augmentent au m8me rythme que le revenu. Loi 0 : Les dépenses ne relevant pas de la nécessité de satisfaire des besoins primaires augmentent plus rapidement que les revenus. 9 Les Lois de >ngel reposent sur l’analyse de la consommation finale des ménages. >lle analyse les variations relatives des di3érents postes de consommation en fonction de l’augmentation des revenus.  >n résume : L’évolution de la structure de la consommation se manifeste par : 1 tat 2 on assiste donc à une augmentation des biens et services collectifs qui vont augmenter la consommation des ménages. >n outre, les gains de productivité permettent de réduire les couts de production. (n assiste donc à une baisse des pri) de vente, alors le pouvoir d’achat va s’améliorer et la consommation va augmenter. La croissance économique contri%ue & la modifcation de sa structure : quand les revenus augmentent. Tout d’abord, la part des biens alimentaires diminue. $ela se 7usti%e par la saturation des satisfactions des besoins physiologiques &alimentations pour un seuil de revenu bien déterminé. Le surplus de revenu sera consacré à d’autres rubriques &services. n outre, la part des services augmente plus rapidement que les revenus. $ela se 7usti%e par une amélioration de niveau de vie moyen qui laisse plus l’accès au) services &santé, éducation, transport. $es besoins ne connaissent pas une saturation. >n plus, ceci est dO au r/le du progrès techniques qui fait naitre des nouveau) biens et services &innovations, donc des nouveau) besoins. 8ode de vie genre de vie! >st une notion qualitative qui évolue dans le temps et dans l’espace. $’est l’ensemble de manière de vivre d’un individu ou d’un groupe caractérisé par les conditions matérielles et l’organisation de la vie quotidienne &condition de travail, types de loisir, faXon de consommer0  Le mode de vie dépend de plusieurs facteurs 1111111Le mode de vie : c’est1à1dire 55 F le pouvoir d’achat : revenu réel qui correspond à la quantité de biens et services que peut acquérir un individu à partir de son revenu nominal en tenant compte du niveau de pri) F le patrimoine dont dispose l’individu : héritage 2 bi7ou) F les avantages en nature dont il dispose : avantages indirects &%scalité, logement 2 transport, services collectifs. F statut de l’individu à savoir : un emploi stable &avantages sociau) : prime, allocations familiales 2 pensions de retraite. 111111 'acteurs économiques et sociaux : les rythme imposé par la société, les conditionnements sociau) 2 les habitudes culturelles. La croissance économique et transformations des modes de vie  La croissance économique permet la transformation du mode de vie. Tout d’abord un grand progrès des modes de vie qui se manifestent par les changements qualitatifs au niveau du développement des moyens de communication, diversi%cation de l’alimentation, évolution des moyens de transport, l’amélioration de l’habitation. $es mutations remarquable de mode de vie entraine une augmentation des revenu des ménages et une élévation des revenus directs et permet en conséquences de transformer les habitudes et les comportements des consommateurs et donc leur mode de vie. n outre, la croissance génère la di$érentiation des modes de vie  : cette diversi%cation est due à la diversi%cation des produits, l’élargissement da la gamme de produit. La di3érentiation des modes de vie est à l’origine de r/le du progrès technique puisque les innovations permettent de créer des produits di3érenciés et diversi%es, de plus les ménages sont saturés en biens d’équipements durables et ils cherchent donc une diversi%cation. $ette diversi%cation rend le mode de vie de plus en plus di3érenciés en termes de gouts, habitudes et préférences. +ussi, gr@ce à l’amélioration de la productivité, on assiste à l"a%aissement du temps de travail au pro%t du temps de loisir. Les individus sont tournés de plus en plus vers les activités de loisir. >n e3et, le salarié ne cherche plus seulement de gagner plus, mais de vivre mieu) et de consacrer plus de temps au) loisirs, au) vacances, et d’accéder à des activités de loisirs variées &sportifs, culturelles 5 Questions : anal7ser la tendance & l"uni'ormisation et les di$érentiations de mode de vie au cours de la croissance économiques  Remarque : Comment l"amélioration de niveau de vie contri%ue & trans'ormer le mode de vie L’amélioration du niveau de vie contribue à transformer les modes de vie. <’abord, par accès plus important au) biens durables et au) services collectifs o3erts par l’>tat vue que son recette s’est améliorer. >nsuite, avec un niveau de vie élevé, on assiste à une di3érenciation des modes de vie vue que le consommateur va avoir un plus grand choi) des biens de consommation. >n%n, les gains de productivité permettent de baisser énormément le temps du travail et donc augmentation du temps libre. Les travailleurs vont consacrer ce temps libre a%n d’accéder à des nouvelles habitudes de consommation &mode de vie tel que des voyages, activités culturelles, sportives0 *ontrer que les gains de productivité source de croissance économique améliorent le niveau de vie et transforment les modes de vie 8ontrer que les gains de productivité source de croissance économique améliorent le niveau de vie  Tout d’abord, les gains de productivité permettent de réduire le cout moyen de production favorisant une baisse de pri) qui se traduit par une augmentation du pouvoir d’achat et une amélioration de niveau de vie. n outre 2 les gains de productivité ont nécessité une amélioration du niveau de quali%cation des travailleurs ce qui entraine des changements de mentalité et donc du mode de vie. *ontrer que la tertiarisation s’e)plique par des mutations au niveau du secteur d’activité &production et par des mutations au niveau de consommation 5? La tertiarisation s’e)plique par des mutations au niveau du secteur d’activité La croissance économique engendre des mutations sectorielles qui se traduisent par des remarquables évolutions de la répartition sectorielle du !" et de la population active. our la répartition sectorielle de !" on note : le secteur primaire : le poids de ce secteur sectoriel dans le !" connaIt une très grande réduction. Le secteur secondaire : son poids était très important dans le !" mais il régresse. Le secteur tertiaire : le poids de ce secteur dans le !" ne cesse d’augmenter &tertiarisation. our la répartition sectorielle de population active on note : ;ecteur primaire : l’emploi dans l’agriculture a baissé considérablement notamment avec le progrès technique et la révolution industrielle. Le secteur secondaire :  7usqu6à HE la part de l’industrie dans l’emploi augmente puis il diminue. secteur tertiaire : l’emploi dans le tertiaire progresse La tertiarisation s’e)plique par des mutations au niveau de consommation La titrisation de l’économie se 7usti%e par une amélioration du niveau de vie : tout d’abord le développement des secteurs tertiaires s’est accompagné par le développement des services collectifs qui contribuent à accroitre le niveau de vie de la population. n outre, la tertiarisation s’e)plique par des changements des modes de vie puisqu’elle apparue suite au progrès technique, l’ouverture sur l’e)térieur, le développement des infrastructures 2 l’intégration de la femme dans la société. cette multitude de phénomènes a complètement changé le mode de vie &changement au niveau de consommation changement au niveau d’habillement et loisir. Chapitre 3 : les couts de la croissance économique Les couts humains et sociaux $outs socio1 économiques Les inégalités La dégradation de l"environnement $outs L"épuisement de ressources naturelles environnementa u) 5A *r samout +mmar Les couts humains et sociaux La croissance n’est pas synonyme de l’amélioration du bien8tre, elle peut entrainer des couts humains et sociau) :  our les co/ts humains : ils se  our les co/ts sociaux: ils se maniestent 0 travers maniestent 0 travers  Tout d’abord, les transformations  Tout d’abord, le développement de douloureuses des modes de vie de l’urbanisation, le problème de la population : fatigue nerveuses, transport, la métropolisation, stress, conditions de travail l’e)ode rural, le problème de défavorables0 logement, le ch/mage urbain, n outre, la croissance entraine ségrégation spatiale0. +ccentuation des maladies contagieuses et infectieuses ainsi que l’e)istence de ch/mage qui entraIne la dévalorisation du capital humain, comple)e d’infériorité, Les inégalités "es ruits de la croissance économique ne proftent pas 0 tous de la m1me manière2 des inégalités au niveau des individus2 des entreprises et des régions persistent : FFFFFF $oncernant les inégalités entre les revenus, les fruits de la croissance ne pro%tent pas à toutes les catégories sociales de la m8me manière : #ne minorité qui pro%te largement de la croissance &les travailleurs quali%é, les cadres des grandes entreprises0. #ne ma7orité qui vivent dans la pauvreté qui est passée d’une pauvreté traditionnelle qui couvrait les ouvriers, les immigrés, les retraités @gés0. + une nouvelle pauvreté qui couvre les 7eunes sans dipl/me, les cadres 5D victimes d’une restructuration des entreprises0 de plus, la croissance a aggravé les disparités sociales 2 les riches s’enrichissent davantage et les pauvres s’appauvrissent davantage. $oncernant les inégalités devant l"emploi  on note que la croissance économique à bouleversée les données sur le marché de travail, des emplois sont créés et d’autres supprimes. L’opportunité de trouver un emploi n’est pas le m8me pour tous : pour la vulnérabilité au ch/mage &risque de tomber au ch/mage, elle n’est pas la m8me pour tous, les travailleurs le plus e)posé sont les moins quali%é. our l’employabilité &la probabilité de sortir du ch/mage est plus faible pour certain ch/meurs que pour les autres surtouts pour les travailleurs peu formés. $oncernantl"inégalité entre les entreprises  on trouve une grande entreprises possédant un capital très important et utilisant des technique et des équipements à forte intensité de capital et à forte productivité et qui possèdent aussi des moyens %nanciers importants leur permettant d’assure l’auto%nancement, de plus les recrutement d’une main d’ouvre quali%é et polyvalente à salaire élevé et garantie de l’emploi et qui a une position avantageuse vis1à1vis de leurs concurrences& compétitivité . our les petites et moyennes entreprises 2 elles possèdent un capital limité, utilisant des équipements mécanisée à faible productivité et à faible intensité capitalistique. >t qui possèdent des moyen %nancier limité en raison de leurs faible pro%t et l’insu'sance de leurs ressources, de plus l’embauche de mains d’ouvre abondante peu quali%é à faible salaire et mauvaise condition du travail en l’incapacité d’a3ronter la concurrence. $oncernantl"inégalité régionale, on note un dualisme régional e)pliqué par tout d’abord la région urbaine qui se caractérise par l’e)istence d’une infrastructure adéquate, l’investissement développés et qui attire des emplois et l’amélioration des conditions de vie et meilleur satisfaction des besoins &services collectifs. our la région rurale, il se caractérise par une faible infrastructure et des investissements limités et un faible niveau de vie et une mauvaise condition de vie et la pauvreté ainsi que le non satisfaction de la ma7orité de la population &absence des services collectifs "a croissance économique engendre des inégalités a. Dans le temps : entre les générations ou les moyens et les possibilités qui sont o3ertes suite à la croissance économique ne sont pas les m8mes en 5E quantités et en qualités. n outre, la croissance entraine de plus la déforestation suite à la disparition des forets la déforestation se manifeste suite à l’élimination des Cones forestières nécessaire pour l’agriculture, pour l’utilisation du sol, pour les b@timents, de plus elle entraine lé distinction de certaine espèce végétale et animale et l’épuisement des sols et la rareté des ressources en eau.  Remarque : e$ets de dé'orestation sur l"environnement et sur l"Gtre humain :  La déforestation se manifeste suite à l’élimination des Cones forestières nécessaires pour l’agriculture, pour l’utilisation du sol, pour les b@timents 5H FFF pour l’environnement &couts environnementau) : déséquilibre écologiques, changements climatiques, l’atmosphère est menacée, la plante est menacée par le développement des besoins énergétiques. our l’8tre humain &couts humains : manque de médicament ce qui peut augmenter les maladies, disparitions de certaines espèces végétales et animales, augmentation des dépenses des santés pour l’homme. F Les trans'ormations qui ont accompagné la croissance ont a$ecté le niveau de l’emploi 9 en e$et plusieurs 'acteurs sont & l"origine de ce phénomène : 1 L’apparition de la révolution technologique donnant naissance à une e)pansion rapide du progrès technique et la présence de nouveau) équipements sophistiqués qu’ont chassé la main d’Yuvre 111une catégorie de main d’Yuvre &faiblement quali%ée serait re7etée. 1 L’apparition de nouvelles activités plus variées, plus dynamiques, plus comple)es qui se basent sur la biotechnologie, la recherche, l’informatique,0 nécessitant une main d’Yuvre hautement quali%ée. 1 La naissance d’une concurrence nationale et étrangère au niveau des entreprises qui a conduit à une marginalisation de certaines unités de production les moins puissantes et leur fermetureZmanque d’investissement et par la suite licenciement de la main d’Yuvre. 1 Les mutations sectorielles ont généré un déclin de la part de la population active dans quelques secteurs sur tout le secteur primaire et secondaire ce qui aggrave le ch/mage. 1 Le développement du phénomène de la concentration : sous l’e3et de la fusion ou l’absorption, les entreprises concentrées peuvent accroItre leur taille en investissant dans la modernisation et par la suite diminuer les postes de l’emploi. 1 Lorsque la création de richesse est à l’origine d’une croissance interne &gain de productivité supérieure à la croissance e)tensive &accroissement des quantités des facteurs de production 111 tau) de croissance de la productivité est supérieur au tau) de croissance du !" 111 ch/mage. *r samout +mmar développement Chapitre Notion H : Lededéveloppement dura%le L"évolution du concept de développement "es composantes du développement durable J Le développement $’est un processus caractérisé par des changements de structures économique&modi%cation de la structure de la population active, démographiques &transition démographique, mentales &l’idéologie de l’entreprise, sociales &quasi1disparition des agriculteurs, intellectuelles &développement d’esprit capitalistes, 7uridiques &création des institutions  7uridiques. Le développement rend la population capable d’accroitre à long terme sa richesse. !l permet la croissance &hausse de la production et d’autres changements. ar conséquent, la croissance devient un ob7ectif partiel de développement La croissance n"entraine pas tou)ours le développement : lus ne veut pas dire mieu) : avec l’augmentation de la production, on assiste à une situation oB un groupe d’individus n’arrivent pas à satisfaire leur besoins fondamentau), ce qui génère de forte inégalités entre les pauvres et les riches &e)emple des pays du golfe.  %! La croissance est une condition nécessaire au développement : La croissance permet de créer des emplois, de distribuer plus des salaires, de dégager les moyens au développement de l’infrastructure, c! Le développement soutient la croissance : !l n’ya pas croissance sans développement. >n e3et, le développement consiste est une amélioration du niveau d’éducation et des conditions de vie ce qui permet d’augmenter la productivité et par la suite une croissance économique. (n dit ainsi que le développement garantit la durabilité de la croissance. Remarque La croissance économique s’accompagne d’un développement humain lorsqu’elle permet d’accroitre la richesse de faXon à la distribuer de manière égalitaire. $ette croissance n’entraine pas tou7ours le développement si elle s’accompagne des inégalités, d’un tau) de ch/mage élevé, d’une faible démocratie et d’une perte d’identité culturelle. Le développement soutient la croissance : il permet d’améliorer les connaissances, la compétence de la main d’Yuvre, de créer des emplois plus productifs ce qui permet de créer des nouvelles activités. Remarque : La croissance est une condition nécessaire du développement9 mais elle n"est pas suIsante/ ?N=RD6C=?N : La recherche d’une croissance économique s’e)plique par un accroissement durable des performances économiques. $et accroissement s’accompagne aussi des e3ets négatifs qui entravent la réalisation du développement humain. !l s’agit de montrer que la croissance économique ne conduit pas tou7ours à la réalisation du développement humain durable. !l s’agit de montrer dans une première partie que la croissance économique est une condition nécessaire pour assurer le développement puis dans une deu)ième partie qu’elle est insu'sante pour assurer le développement humain durable. "a croissance économique est une condition nécessaire au développement humain durable a/ ;uite au) e%ets des revenus générés au cours de l’accroissement des richesses. $ela permet à la population d’assurer une meilleure couverture de ces besoins fondamentau) qui ne cessent d’évoluer à savoir santé, logement, alimentation’ éducation 0 our les pays à revenus par t8te élevés, l’espérance de vie, le tau) d’alphabétisation, le tau) de scolarisation sont très élevés. $es pays possèdent par la suite un !n e3et, ils sont complémentaires. Le développement humain durable est a)é sur les hommes 2 satisfaire leur besoins et réduire les inégalités d’une part, et sauver l’environnement et préserver les intér8ts des générations actuelles et futures Q6(<=?N : le DKD répond-il seulement aux intérGts d"une mGme génération Le DKD ne répond pas seulement o%)ecti's! 78ux besoins des générations actuelles : ;atisfaction des besoins d’une m8me génération : Le n tant que composante du développement durable, il permet d’améliorer la productivité du travail humain. !l constitue une composante de développement durable car il est construit de faXon à sauvegarder l’environnement et les intér8ts des générations futures. Le capital humain : !l rassemble les ressources humaines, les connaissances et les quali%cations acquises dans le milieu scolaire puis professionnel. Les investissements &dans la santé, dans l’éducation, dans la formation sont nécessaires pour accroitre le stocS du capital humain. our réaliser le développement durable, il faut valoriser le capital humain, c’est à dire satisfaire les besoins fondamentau) de l’homme au niveau de l’éducation et au niveau de la santé pour les rendre plus productifs. Le capital social $’est l’ensemble des éléments sociau) permettent d’assurer un développement durable :il s’agit des droits fondamentau) de l’homme. $’est aussi l’ensemble des chances de l’homme dans un cadre politique, économique et social. !l cherche à améliorer la cohésion sociale et la solidarité. !l faut assurer un capital social pour réduire les inégalités entre générations. Le capital naturel : !l présente le patrimoine naturel : foret, la faune &animau), la 4ore &végétau), sols, Le développement durable vise à sauvegarder l’environnement A Conclusion : Les composantes du développement durable doivent 8tre complémentaires a%n d’assurer le développement durable. >n e3et, >n cas d’absence de capital naturel &dette écologique comme e)emple la pollution, le capital matériel et le capital humain sont menacés et par conséquent les générations présentes et futures &capital humain sont aussi menacées. >n cas d’absence de capital matériel, il sera impossible de satisfaire les besoins fondamentau) de l’homme donc le capital humain sera détruit. >n cas d’absence de capital social &en cas de discrimination et des inégalités, le centre d’intér8t de développement durable qui est l’homme &capital humain sera menacé. "a croissance économique avorise le développement durable dans sa dimension humaine dans la mesure o9 : 9 >lle se traduit par une augmentation des richesses et par suite des investissements, des emplois et des revenus entraInant une amélioration du niveau de vie de la population. 9 +u cours de la croissance, les individus accèdent à une alimentation plus riche et plus variée. !ls peuvent accéder à de meilleurs soins et à des logements plus décents. Tous ces facteurs permettent à la population de vivre longtemps et en bonne santé. 9 +u cours de la croissance, les tau) de scolarisation et d’alphabétisation s’élèvent gr@ce au) ressources qu’elle génère et qui permettent de %nancer des dépenses publiques et privées en matière d’éducation, de culture, de formation0 "a croissance économique menace le développement durable dans sa dimension humaine dans la mesure o9 elle engendre : 9 n e3et, certaines catégories sociales vivent dans un état de pauvreté à cause de la répartition inégale des revenus. >lles sont donc e)clues de la croissance. $ette situation s’oppose à l’ob7ectif d’équité recherché dans le cadre du développement durable. 9 st un indicateur composite créé par le M#< &programme des nations unis sur le développement. !l traduit les progrès en matière de santé, d’éducation et de revenu. !l prend en compte trois variables : F La longévité &durée de vie mesurée par l’espérance de vie à la naissance. ar e)emple : l’espérance de vie en Tunisie est de E. ans en 5JJ. F Le niveau d’éducation mesuré par le tau) d’alphabétisation des adultes et le tau) de scolarisation du primaire au supérieur. ; "e niveau de vie mesuré par le %) réel par habitant exprimé en 8 tats #M!;. E Fme classi?cation de ('8&habitant. 'l regroupe des aspects de santé. 'l n’néglige d’autres crit#res.  $uestion : Comparer l’%D et % '3H (@';= "@44; -%4(6 D#<<#=#4(6 '(H ) '(H * L’'3H et '(H sont deux indicateurs de développement humain et se base sur les m>mes crit#res 5longévité0 savoir et niveau de vie60 compris entre  et ) La longévité 5durée 'l est déterminé en 'l est déterminé en de vie6 mesurée calculant : calculant :  par l’espérance de Le + des déc#s avant Le + des déc#s avant vie à la naissance l’,ge de - ans l’,ge de / ans. Le niveau d’éducation mesuré par le taux d’alphabétisation des adultes et le H '(H Le niveau d’éducation mesuré par Le taux d’alphabétisation Le niveau d’éducation mesuré parLe taux d’illettrisme taux de scolarisation du  primaire au supérieur. Le niveau de vie mesuré par le ('8 réel par habitant exprimé en ((9 ?J Le niveau de vie mesuré Le niveau de vie le + des personnes mesuréLe + des  privées d’acc#s à l’eau  personnes qui vivent au2  potable0 aux services de dessus de seuil de santé.  pauvreté le + des enfants de moins de 1 ans qui sou%rent d’insu!sance *r samout +mmar  Chapitre  : la mondialisation (volution de commerce internationale (volution de structure des échanges des %iens et services par produit (volution de structure des échanges des %iens et services par activité (volution de structure des échanges des %iens et services par %ranche (volution de commerce internationale +vant le H ème siècle le commerce mondiale connait une croissance suite au découvert et au) innovations. Le long du H ème siècle le commerce mondial connait une e)pansion suite à la révolution industrielle et l’émergence de libre échange +u 5J ème siècle : on note tout d’abord qu’au milieu des années H?J le commerce mondial se caractérise par un ralentissement suite au ere et 5eme guerre mondiale et à la crise de HJ. >nsuite 2 entre les années H?A et HEJ le commerce mondiale connait une croissance suite à l’accord de la _+TT. uis entre les années HEJ et HGJ on note un ralentissement du commerce mondiale qui es du au) deu) chocs pétroliers. >n%n, depuis l’année HGJ le commerce mondial connait une croissance rapide suite à l’apparition de l’(*$. +u 5 ème siècle le commerce mondiale connait une croissance rapide mais fortement sensible à la con7oncture internationale/ (volution de structure des échanges des %iens et services par produit L’évolution de la structuré internationale des biens et service par produit se caractérise par : 1Tout d’abord, la régression du produit de base : la part de produit primaire dans le commerce mondiale régresse suite à la baisse de demande et de pri) mondiale et la 4uctuation du cours mondiau). La part des produits énergétiques et minier suit une 4uctuation : si leur pri) augmente alors leur part dans le commerce mondial augmente et si leur pri) diminue alors leur part diminue aussi. ? 1n outre, l’évolution se caractérise par la montée des échanges des services : la part de service dans le commerce mondiale connait une augmentation plus rapide suite à l’augmentation de la demande mondiale et le développement des moyens de télécommunication, de plus le service se développe suite a la tertiarisation de l’économie mondiale et l’ouverture poussée des économies nationales ainsi que le développement du commerce intra %rme et inter %rme multiplié par les 4u) de services. La part de service augmente plus rapidement que les marchandises, il représente DJ de !" mondiale. (volution de structure des échanges des %iens et services par activitéD?=! < des produits primaire a pri) faible et l’importation des produit manufacturé à pri) élevé ce qui génère une détérioration de terme de change et un dé%cit commerciale en raison de leurs spécialisations de l’augmentation de pri) à l’importation. De plus, l’ancienne < garde leur ancienne spécialisation, il e)porte des produits primaires banalisés à faible valeurs a7outé et faible pri) et pour lequel la demande mondiale évolue faiblement et importe des produits manufacturés à pri) élevé. <’autre ><&M! se sont spécialisés dans l’e)portation des produits manufacturés et sont intégré de plus en plus dans le commerce mondial et devenus des concurrents directs pour les pays développés. Leurs part à augmenté plus rapidement que celle des pays développés en imitant ainsi la technologie en provenance de ces pays. La nouvelle < &*+ voie leur situation se détériore de plus en plus &victime d’un échange inégal et deviennent marginalisé quantitativement en raison de leur faible part des e)portations et de leur faible intégration sur le marché mondial et qualitativement en raison de leur faible spécialisation et de la régression de leurs produits à faible valeur a7outé dont la demande mondiale est en déclin. $ette favorise la dépendance et la détérioration des termes de changes. Les *+ représentant les pays les plus pauvres du monde, leur e)portation de produits primaires diminuent d’avantage ce qui aggrave leur situation. (volution de structure des échanges des %iens et services par %ranche L’>volution de structure des échanges des biens et services par branche se manifeste par le commerce interbranche et le commerce intra branche Concernant le commerce inter%ranche : c’est l’échange de produit de nature déférents appartenant a des branches déférentes N blé contre ordinateurs. $e commerce s’e3ectue entre les pays à niveau de développements di3érents. >t il tient compte des couts sans tenir compte de la di3érentiation de produits. $e commerce représente une spécialisation par produit &produit primaire et produit manufacturé Concernant le commerce intra %ranche : c’est l’échange de produit similaire appartenant a des branches identique &voiture ->M+#LT contre voiture *-;. $e commerce s’e3ectue entre les pays a niveau de développements proche 2 il tient compte des la variété et de la qualité de produit. $e commerce représente une spécialisation %ne &dans la m8me catégorie de produit. (volution de structure des échanges des %iens et services par pa7s géographique! ? L’>volution de structure des échanges des biens et services par pays se manifeste par la tripolarisation des échanges internationau) et la répartition géographique des échanges. Concernant la tripolarisation, Le commerce mondiale est devenu une commerce tripolaire, il est centre sur trois grande Cones : un pole européen dominé par l’union européen &il attire les pays européen et un pole asiatique dominé par le 7apon &il attire d’autre pays voisin de 7apon et pole américain dominé par l’#;+ &il attire d’autres pays d’+mérique.  Toute fois les échanges internationau) ne se limitent pas au niveau de commerce intra Cone, mais ils se développent aussi entre les di3érents p/les appelés commerce inter Cone : l’+mérique développe son échange avec l’+sie et l’>urope développé aussi leurs échanges avec l’+mérique. <’autre part, le commerce interCone est plus important que le commerce interCone qui ne représente que J du commerce mondiale. Concernant la répartition géographique des échanges le commerce mondial est pro%table surtout pour les pays développés qui représente les principau) e)portateurs des produits manufacturé. <’autre pays &M! e)porte des produits manufacturé et deviennent des concurrents directs pour les <. +lors que d’autre pays&*+ reste marginalisé quantitativement en raison de leur faible part des e)portations et de leur faible intégration sur le marché mondial et qualitativement en raison de leur faible spécialisation et de la régression de leurs produits à faible valeur a7outé dont la demande mondiale est en déclin *r samout +mmar  Chapitre M : les frmes multinationales *résentation de frme =7pologies des fliales Commerce inter frme et intra frme Les mo%iles de multinationale ($ets de la multinationale  résentation de la %rme La multinationale est une grande entreprise dont les activités principales s’e)ercent à la fois dans son pays d’origine &maison mère et dans un ou plusieurs pays étrangers &%liales ?? Caractéristiques • • • • • • $omposition : l’*M est constitué de la maison mère &pays d’origine er d’un ou plusieurs %liales &pays h/teP d’accueil +pparition : l’*M appartienne au pays développés et certains pays émergents &? dragon ;ecteur d’activité : on trouve l’*M dans tous les secteurs !mportance : l’*M produit J de !" mondiale $apital : L e capital de l’*M est très important &apport des actionnaires  Taille : La multinationale est une grande entreprise : la taille est mesurée par le chi3re d’a3aire, le nombre des travailleurs0 8ode modalité! • • • • La %rme décide elle1m8me de crée une %liale dans un pays étranger sans rachat d’entrepose locale  \oint venture : l’*M s’associe avec une autre entreprise en coopératif pour crée une %liale commune +cquisition total d’entreprise locale &par acquisition total de son capital +cquisition partielle d’entreprise local &participation au capital d’entreprise local  Typologies %liale ($et positi'  :du avantage, pro%table, opportunité, croissance, bien fait, avantage  !l($ets e)istenégati's : trois typesmenace de %liale2 inconvénient, chacun à ses propres activité limites, et ob7ectifs e3ets pervers, contraintes, e3ets néfastes Les formes des %liales • $oncernant la %liale commerciale : elle ne produit pas dans le pays d’accueil, elle se limite à commercialisé &vente le produit fabrique par la maison mère. >lle à pour stratégie l’approvisionnement de la maison mère et la commercialisation des produits. >lle a pour o%)ecti'   de concourir des nouveau) marchés et de maitriser l’approvisionnement ainsi que l’adaptation au gout de consommateur. • $oncernant la %liale relais : elle produit sur le pays d’accueil le m8me produit que la maison mère. >lle a pour stratégie la production sur place &sur le marché >lle a pour o%)ecti' de réduire le cout de production &main d’ouvre , de pro%ter des avantages %nancières et %scau) , d’élargir la part de marché et de réduire le cout de transport ainsi que de contourner&supprimer le barrière protectionniste • ?A $oncernant la %liale atelier : elle produit une ou plusieurs composantes de produits %nales. >lle a pour stratégie l’internationalisation de processus productif &décomposition des produits entre plusieurs %liales >lle a pour o%)ecti'  de réduire le cout de production, d’accéder au) technologies 2 de pro%ter des avantages %scau) et %nanciers ainsi que la recherche d’augmenter la production &mains d’ouvre $ommerce inter %rme et commerce intra %rme Concernant le commerce échange! intra frme  : il met en relation la maison mère et ses %liales etRou les %liales d’une m8me *M. Les échanges peuvent portés sur le produit %nis, produits de base, des technologies 2 services0 Concernant le commerce échange! inter frme : il met en relation les di3érentes maisons mère et entre les %liales des di3érents *M. Lees échanges peuvent portés sur : l’approvisionnement, transfère de technologie 2 sous1 traitance. Les mobiles de multinationale Concernant les mo%iles lies aux couts &il permet d’améliorer la compétitivité pri) : tout d’abord on trouve la réduction des charges sociale et salariales : l’*M préfère s’implante dans des pays ou il ya une main d’ouvre a bon marché &salaire bas &cette réduction permet de réaliser la compétitivité pri) suite la maitrise de couts. >n plus, l’*M préfère s’implanter dans des pays qui o3rent des allégements %scau) et avec des primes d’investissement, faible tau) d’intér8t &la réduction des charges %scales et %nancière permet aussi de diminuer es couts er de génère la compétitivité pri). >n outre, l’implantation des %liales a l’étranger permet a l’entreprise de béné%cier d’une augmentation de sa production avec un cout faible et de réaliser l’économie d’échelle &l’économie d’échelle permet a leur part de réaliser la compétitivité pri) suite a la maitrise de cout de production. n outre, la multinationalisation permet au *M de s’approvisionner en matière première et produit semi %nis d’une manière régulière et a moindre couts et meilleurs qualités, &la maitrise d’approvisionnement permet alors de réaliser la compétitivité hors pri). T+T talque infrastructure favorable, réglementation 7uridique et sociale souple &ces conditions d’accueil favorable permet de générer la compétitivité hors pri) ?D